L’Agriculture Cellulaire, Chimérique et Confinée en Cuves Stériles

Avant-Propos

Ce second dossier sur les fausses viandes – et plus particulièrement sur les fausses viandes cellulaires de l’auto-proclamée agriculture cellulaire” – constitue, en fait, la première partie de mon récent article intitulé “La Guerre Alimentaire des Transhumanistes Eugénistes pour Affamer les Peuples” qui est publié sur mon site xochipelli.fr. Ce récent article – de plusieurs dizaines de pages renvoyant à plus de 320 liens – est le neuvième épisode de ma séquence “Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires”. Pour les besoins de la publication sur le blog de Kokopelli, j’ai expurgé cette première partie, sur l’Agriculture Cellulaire et Chimérique, de mes très nombreux commentaires au vitriol – d’inclinations existentielles, sociologiques et ethnologiques – afin de ne pas heurter les âmes trop sensibles ou, déjà, bien meurtries par quelques mois d’incarcération punitive. Xochi.

Introduction

Durant l’automne de l’an passé, le 11 octobre de l’An 01 des Gilets Jaunes, je publiai le premier épisode de ma séquence “2020 : Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires” que j’intitulai “La Chimérisation d’Insectes Mâles Exterminateurs : un Prétexte pour le Grand Remplacement ?” [16] Son objectif était de lancer l’alerte quant à la destruction programmée de l’agriculture afin de la remplacer, progressivement, entre autres innovations chimériques et simulatrices, par des “aliments” produits dans des méga-usines à insectes.

Les Muses m’avaient, alors, soufflé aux oreilles que les insectes n’étaient pas les seuls à être assujettis, prochainement, à des camps de concentration protéique…

Dans cet essai, de 2019, sur “La Chimérisation d’Insectes Mâles Exterminateurs” – qui, en fait,  constituait le troisième article que je consacrais à ce thème depuis juillet 2016 [73]  [74] – j’annonçais que l’Industrie avait déjà commencé à investir dans une toute nouvelle révolution agricole : les fausses viandes de l’Agriculture Cellulaire Chimérique promues par un nouveau concept très innovateur – sinon innova/tueur – le Néomnivorisme. Voici donc, en première partie de ce présent essai, sur “La Guerre Alimentaire des Transhumanistes Eugénistes pour Affamer les Peuples”, le dossier sur les fausses viandes cellulaires que je souhaitais rédiger afin de compléter mon précédent exposé sur les fausses viandes à base d’insectes.

Sir Ian Boyd – un ancien conseiller scientifique environnemental du gouvernement du Royaume- Uni — préconise que la moitié du territoire agricole du pays soit transformée en bois, et en espaces verts, afin de restaurer la vie sauvage et de “sauver le Climat”.

En effet, selon ce professeur, le recyclage au vert de la moitié du territoire agricole, du Royaume-Uni, permettrait, dans un premier temps, de réduire l’élevage de moutons et de bovins de 90 % tandis que les éleveurs seraient rémunérés pour planter des arbres – afin de fixer du carbone – plutôt que pour vendre des animaux destinés à la viande ou autres produits tels que le lait. Vu que les terres agricoles, dans ce pays, occupent 70 % de l’espace national, le recyclage vert de la moitié de ces terres redonnerait une jeunesse “sauvage” au tiers du territoire. [183]

Cet expert préconise, donc, de mettre en place des “fermes verticales” afin d’économiser de l’espace et l’on présume que ces unités verticales accueilleraient des milliards d’insectes ou bien, alors, des “bio-fermenteurs”, de viande cellulaire, de 50 à 100 mètres de hauteur – qui permettraient d’agrémenter le paysage à l’image des tours de refroidissement des centrales d’énergie nucléaire.

En mai 2019, l’organisation Rewilding Britain [184] (vraisemblablement un pseudopode du gang de Soros) a émis les mêmes propositions visant à supprimer les subventions agricoles aux paysans afin de les recycler vers la création d’espaces verts pour emmener le pays vers une “neutralité carbone”, d’ici 2050 – pour “sauver le Climat”. Cette organisation a tenté, en 2019, de promouvoir un énorme projet de recyclage “naturel”, dans le Pays de Galles, qui aurait éliminé toutes les activités paysannes sur environ 38 400 hectares – mais les agriculteurs ne s’en sont pas laissés conter. [185]

Le 20 mai 2020, la Commission Européenne a annoncé sa nouvelle “Farm to Fork (F2F) Strategy”, à savoir sa nouvelle stratégie de la Ferme à la Table – pour sauver la Planète et le Climat. Ce nouveau programme va se focaliser sur «l’accroissement de la disponibilité et de la production de protéines alternatives telles que les substituts de viande et les protéines produites à partir d’insectes, de plantes, de micro-organismes et d’organismes marins». [305] L’une des clauses prévues de cette nouvelle stratégie, dans le cadre du New Green Deal, à savoir celle  de «stopper la stimulation de production et de consommation de viande», a été supprimée de la version finale… En attendant une nouvelle version encore plus contraignante ou un lobbying plus agressif de la part de l’ONG “International Platform of Insects for Food and Feed” ou de la part de l’ONG “Compassion in World Farming EU” dont la directrice, Olga Kikou, pleurnichait quant au fait que des éléments ambitieux de ce programme avaient été supprimés à la dernière minute. [306]

Depuis quelques années, seuls cinq pays Européens (Belgique, Norvège, Finlande, Royaume-Uni et Danemark) ont permis la vente de nourriture à base d’insectes. Cependant, dans les semaines à venir, l’AESA – l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments – est sur le point de donner son autorisation pour la commercialisation de ce type d’aliments dans tous les pays Européens. [75] Faut-il préciser que l’AESA est une structure mafieuse totalement à la solde de l’Industrie Agro-Pharma, et des multinationales nécro-technologiques ? Sa mission est, en effet, de promouvoir et de sécuriser, légalement, l’insécurité et l’empoisonnement alimentaires des Peuples d’Europa.

L’un des objectifs de ce Grand Remplacement est de produire, en Europe, pour la nourriture des animaux d’élevage Européens, de 3 à 5 millions de tonnes de protéines d’insectes d’ici 2035. [294] Cette nouvelle stratégie annonce également vouloir diminuer la production de soja sur des terres déforestées. Ce n’est manifestement qu’un voeu pieux… car une grande partie des fausses viandes, à base de plantes est, bien évidemment, basée sur le soja universel. L’abandon de la viande, selon les technocrates corrompus de la Commission Européenne, serait, également, pour diminuer l’impact des pathologies humaines mortelles. Sans commentaires… car cela dépasse le cadre de ce dossier succinct.

Le 20 mai 2020, également, la toute nouvelle ONG, “Upcycled Food Association”, créait un nouveau front regroupant les industriels de l’alimentation, des ONGs “humanitaires” (telle que l’eugéniste WWF) et des universités (Harvard, Drexel, etc), afin de définir le tout nouveau concept de “upcycled food” – à savoir de “nourriture surcyclée” !

La définition officielle est comme suit : «Les aliments surcyclés utilisent des ingrédients qui, autrement, n’auraient pas été introduits dans la chaine alimentaire; qui sont produits, et rendus accessibles, au travers de chaines d’approvisionnement vérifiables ; et qui génèrent un impact positif sur l’environnement.» [311] [312] Au prétexte, très louable, de limiter le gaspillage de nourriture au monde. En 2019, l’ONG Future Market Insights publia un rapport stipulant que la “nourriture surcyclée” représentait un chiffre d’affaire de 46 milliards de dollars. C’est dans cette optique que l’industriel Tyson Foods avait proposé un nouveau produit dénommé Yappah composé de croustillants de protéine surcyclée. [313]

Avec ou sans nuage de lait de cafard dans votre café du matin ? [314] La café latte fait, ainsi, place au café blatte… afin de sauver le Climat de la Fournaise !

Alexander Holst, l’un des obligés de Bill Gates et le directeur de l’ONG “Good Food Institute Europe” s’exprima dans un état de béatitude extatique : «les protéines alternatives, telles que la viande végétale ou la viande cellulaire, jouent un rôle essentiel dans la transition de l’Europe vers un système de production plus soutenable, plus sain et plus juste» et il ajouta que ces fake viandes représentent «une opportunité commerciale majeure pour l’Europe d’orchestrer un rétablissement authentiquement vert de la récession du Covid/19». Sic.

What the Fake is Going on?  

En décembre 2019, Kirsten Dunlop, la présidente de l’organisation technocratique dénommée “European Institute of Innovation and Technology Climate Knowledge and Innovation Community” [249] (tous aux abris !) a prédit que les protéines à base d’insectes seraient bientôt hissées au rang de “super-aliment” – au même titre que la quinoa et le kale, à savoir le chou frisé – dans le cadre d’une agriculture décarbonée qui va sauver le Climat… et qui va participer à la nécessité impérieuse de “re/sauvager” l’Europe (sic). [248]

1. L’Agriculture Cellulaire, Chimérique et Confinée en Cuves Stériles

L’Agriculture cellulaire chimérique… et contre-Nature : une définition toute en simulations.

Selon les définitions promues par ses chiméristes, “l’agriculture cellulaire” se distingue de l’agriculture traditionnelle de par le fait qu’elle opère sur le plan cellulaire et non pas sur le plan organique.

Dès le début, il s’avère peu aisé de ne pas sombrer dans un piège sémantique car “agriculture” signifie “culture des champs” – du Latin “cultus”, “colere”, etc – au moyen d’une technologie fondée sur un soc de charrue ou “couteau” – du Latin “cultellus”, “culter”, etc. Ces deux termes, agri/culture et couteau, sont ainsi très proches quant à leur racine Proto-Indo-Européenne, à savoir “kwel”. L’association de termes “agriculture cellulaire” constitue, ainsi, une aberration flagrante… un oxymore promouvant des aliments mort-vivants – des aliments zombie pour une zombification accélérée des populations.

Cela signifie que l’agriculture/élevage traditionnelle fonctionne avec des êtres vivants – des organismes composés d’organes tels que des animaux, des plantes, des champignons – tandis que “l’agriculture cellulaire” est fondée sur la “culture” de cellules en cuves. Ces cuves sont, également, dénommées des “cultivateurs”, des “bio-réacteurs”, des “bio-fermenteurs”…

cuves stériles

Il est à remarquer que le terme “cultivateur” autrefois utilisé pour qualifier des paysans, des agriculteurs, des fermiers est, aujourd’hui, utilisé, dans l’agriculture cellulaire et chimérique, pour désigner des cuves stériles, hygiéniques et irréprochables, selon les chiméristes, d’un point de vue sanitaire… Tout autant irréprochables que les vaccins de l’eugéniste Bill Gates et de la Pharmacratie génocidaire ? Je renvoie les lecteurs intéressés, par cet autre aspect de l’eugénisme criminel, à mon essai “Un Holocauste Vaccinal d’Amplitude Planétaire”. [191]

La dénomination “agriculture cellulaire” a été proposée, en 2015, par Isha Datar, le directeur de l’organisation US, New Harvest. Selon la propagande de ces lobbyistes chiméristes, il existe deux formes d’agriculture cellulaire selon qu’elle ait recours à des tissus ou à des fermentations. La première forme est qualifiée d’agriculture cellulaire tissulaire. Elle produit, par exemple, de la viande au travers d’un processus d’ingénierie tissulaire. Cette viande est alors libellée de diverses façons : “viande cellulaire”, “viande cultivée”, “viande in vitro”, “viande synthétique”, “viande artificielle”, “viande de laboratoire” ou, encore, “viande propre”. Elle est même qualifiée de “viande en 3D”… ce qui explique que des start-ups dans le secteur de la viande cellulaire s’allient avec des entreprises dans le secteur de l’impression en 3D.

L’expression, “viande propre”, est propulsée par le gang des (prétendus) écologistes, promouvant toutes les fadaises de type “new green deal”, et elle implique que son contraire – à savoir la “viande sale” – soit produite à partir d’animaux d’élevage qui constitueraient, intrinsèquement, une abomination détruisant la Nature. Tout va bien ?

Cette agriculture cellulaire a pour objectif d’extraire des cellules, à partir d’animaux vivants ou récemment décédés, et d’en contrôler la prolifération et la différenciation cellulaires dans le but de produire de la masse cellulaire – par exemple du muscle ou du gras.

Quelles cellules sont extraites ? Des cellules souches embryonnaires, des cellules souches totipotentes, des cellules souches pluripotentes, des cellules souches pluripotentes induites (artificiellement créées de par l’ajout de facteurs de transcription), des cellules souches adultes, des cellules souches multipotentes, des cellules souches satellites.

La seconde forme est qualifiée d’agriculture cellulaire par fermentation. Elle produit, par exemple, des substances dérivées d’animaux, tels que du lait, du cuir ou du blanc d’oeuf à partir de technologies de fermentation impliquant de l’ADN recombinant.

Elle produit, également, des cannabinoïdes afin de mettre la production de dérivés de cannabis totalement sous le joug de la Pharmacratie.

Elle produit même de l’Artémisinine à partir de levures chimériques afin, surtout, de ne pas laisser aux Peuples la gestion directe de leur santé en cultivant eux-mêmes l’Artemisia annua dans leurs jardins familiaux. [237] A ce sujet, rappelons que l’Association militante Kokopelli a distribué, en 2019, plus de 100 000 sachets gratuits de semences de cette plante miraculeuse – pour le traitement, et la prévention, de la Malaria et d’une pléthore d’autres pathologies. [238] Je renvoie les lecteurs vers mes diverses monographies sur cette Plante Médicinale Maitresse. [239]  [240]  [241]

Cette agriculture cellulaire par fermentation implique, donc, le recours à des levures chimériques, des algues chimériques ou des bactéries chimériques – à savoir modifiées génétiquement – qui, lorsque fermentées dans des sucres, produisent des molécules organiques qui sont, ensuite, processées afin d’élaborer les produits sus-dits – afin de les “bio-fabriquer” selon le terme anglais utilisé par les chiméristes.

L’agriculture cellulaire a pu faire, ces dernières années, des avancées fulgurantes car la technologie sur laquelle elle se fonde, tant sur le plan des processus chimériques que des substrats de culture ou des fermenteurs, a été développée et améliorée, depuis quelques dizaines d’années, par la Mafia Pharmacratique pour la confection de remèdes, de vaccins et autres anti-corps.

L’Agriculture cellulaire chimérique : en quête de bio-masse “naturelle”… permettant de produire de la bio-masse synthétisée… afin de produire des aliments cellulaires.

La question essentielle que puisse se poser tout individu décent, ayant autre chose que des petits pois dans le cerveau : peut-on produire de la bio-masse alimentaire ex nihilo ? En effet, l’agriculture cellulaire gît-elle, donc, dans le même syndrome hallucinatoire que les Big Bangistes – les propagateurs du Big Bang – qui affirment que l’Univers est né, spontanément, il y a quelque 14 milliards d’années et des poussières cosmiques… si l’on veut bien leur accorder un premier petit miracle comique, à savoir que le Tout puisse émerger du Rien.

Selon la communication hystérique de l’entreprise Française Gourmey, par exemple, qui produit du foie gras cellulaire, ses “cultivateurs”, à savoir ses cuves de fermentation, constituent, carrément, des “Paradis pour cellules”. Gourmey produit du fake foie gras confectionné à partir de cellules de vrais canards qui sont, ainsi, gavées en “cuves paradisiaques” – les cellules, pas les canards.

On peut supposer que l’expression “Paradis pour cellules” fait référence aux racines étymologiques du terme “Paradis” issu du Grec “Parádeisos”, lui-même issu de l’Avestique “Paiṛidaēza” qui est corrélé au Persan “Pardêz”. Tous ces termes signifient, avant tout, “enclos”, “espace clos” et “enclos pour animaux” – et par extension “jardin”.

Cette entreprise chimériste Française déclare ainsi : «Nous plaçons ces cellules dans notre cultivateur où elles profitent de conditions idéales. Température parfaite, nutriments basiques et naturels et de l’espace pour se développer. Les cellules se multiplient naturellement et nous récoltons… du vrai foie gras de canard».

A noter, dans ce court paragraphe, les quelques adjectifs et adverbes, que je mets en gras, dont la mission anesthésiante est de commercialiser du fake, de la simulation : à savoir de l’alimentation chimérique, synthétique et hyper-industrielle – produite en cuves paradisiaques ! La suite de cet essai va mettre en exergue ô combien peu naturels sont les composants de la soupe dont sont gavées les cellules de l’agriculture cellulaire.

En fait, cette soupe cellulaire est, authentiquement, une “soupe à la grimace” dans le sens étymologique du terme Latin “grima” – signifiant “masque”. L’agriculture cellulaire est une mascarade alimentaire dont la fonction première est de participer à la destruction systématique de l’agriculture/élevage afin d’affamer les Peuples – par sous-nutrition ou par non-nutrition. Il n’est que temps de faire tomber leurs Masques… et tant d’autres Masques !

Comment sont nourries les cellules de canard, chez Gourmey ? Quasiment comme des canards selon ce qu’il en est dit sur leur site de propagande : «Nous donnons aux cellules les nutriments les plus basiques dont elles ont besoin. Les mêmes que l’on retrouve dans l’alimentation naturelle du canard lorsqu’il mange de l’avoine, du maïs ou de l’herbe. Il s’agit de protéines, de lipides ou encore de vitamines. Bien sûr, aucun produit potentiellement toxique pour la consommation n’entrera dans notre procédé de fabrication ! ».

L’expression “potentiellement toxique” n’est-elle pas admirable de dissonance cognitive ? A l’image du CoqueVide/19 dont la “toxicité potentielle” a été échafaudée par des crapules prophétisant des dizaines, ou même des centaines, de millions de morts – les mêmes crapules et “experts scientifiques” qui avaient annoncé la fausse pandémie de 2009/2010 qui généra des milliards de dollars de vaccins pour la Pharmacratie.

L’une de ces crapules criminelles est le Professeur Neil Ferguson, au Royaume-Uni – l’un des hommes de paille de l’eugéniste Bill Gates, le grand ami de Jeffrey Epstein. Ce charlatan est l’instigateur du confinement inconditionnel et des mesures strictes de distanciation sociale pour la planète entière. [79] Neil Ferguson a démissionné, le 5 mai 2020, de son poste de directeur du conseil scientifique britannique pour les situations d’urgence, suite au scandale provoqué par la révélation de visites “illégales”, car irrespectueuses du confinement, de sa maîtresse à son domicile Londonien. [109]

C’est le même Neil Ferguson qui, lors de l’épisode de fièvre aphteuse au Royaume-Uni en 2001, exigea que 6,5 millions de têtes de bétail soient euthanasiées sans aucune raison valable; qui, lors de l’épisode de “maladie de la vache folle”, pronostiqua la mort de 150 000 Britanniques (il y en eut 157); qui, lors de l’épisode de grippe aviaire de 2005, déclara que 200 millions de personnes allaient mourir de par le monde (il y en eut 455) ; qui, lors de l’épisode de grippe porcine de 2009, pronostiqua la mort de 65 000 Britanniques (il y en eut 283) et encouragea le gouvernement UK à propulser le vaccin toxique, Pandemrix, de GlaxoSmithKline qui détruisit le cerveau de milliers de personnes, principalement des enfants.

Qu’en-est-il donc, réellement, de l’alimentation dite “naturelle” dont sont gavées les cellules de l’agriculture cellulaire tissulaire ainsi que les cellules de l’agriculture cellulaire par fermentation ?

Voici un exemple, issu de la pharmacie cellulaire chimérique, permettant de mieux illustrer les abominations de notre fin de civilisation. La production cellulaire de thrombopoïétine – une hormone humaine normalement synthétisée par le foie et les reins – est élaborée dans des cuves contenant des cultures en suspension de cellules chimériques (recombinantes) d’ovaires du Hamster de Chine (Cricetulus griseus). Ces cellules sont nourries avec des hydrolysats provenant de levures, de riz, de soja ou de gluten de blé ainsi que le met en exergue cette étude, de 2004, intitulée “Yeast hydrolysate as a low-cost additive to serum-free medium for the production of human thrombopoietin in suspension cultures of Chinese hamster ovary cells”. [40]

Comme toutes les cellules vivantes à l’intérieur d’un organe vivant au sein d’un organisme vivant – lui-même lové au sein d’une Biosphère vivante – les cellules confinées artificiellement, en captivité de cuves plastiques ou métalliques, ont besoin pour survivre, et se multiplier, de lipides, de protéines, d’acides aminés et d’hydrates de carbone… en sus de vitamines et autres oligo-éléments.

Grosso modo, afin de proliférer en cuves, les cellules mammaliennes ont besoin, comme plats de résistance, de glucose et de glutamine ainsi que d’acides aminés et de lipides. Et pour les hors d’oeuvre et desserts, il leur faut une belle diversité de métaux, de sels minéraux, d’hormones, de protéines de diverses classes, de polyamines, de vitamines, de cytokines et de facteurs de croissance…

Les hydrates de carbone communément utilisés sont avant tout le glucose, mais aussi, dans une moindre mesure, le galactose ainsi que le fructose et le maltose. Quant aux lipides, le cholestérol est particulièrement important car il facilite la signalisation cellulaire et le transfert intracellulaire. En ce qui concerne les métaux, ce sont surtout le fer, le cuivre, le zinc et le sélénium qui sont indispensables. Pour ce qui est des sels inorganiques, ce sont le calcium, le magnésium, le potassium et le sodium. Pour ce qui est des polyamines, ce sont la spermidine, la spermine et la putrescine. Pour ce qui est des protéines porteuses, ce sont l’albumine, la transferrine et la lactoferrine. La culture de cellules in vitro bénéficie, également, de l’apport de ces autres protéines que sont la fibronectine et la laminine. Enfin, il ne faut pas oublier les hormones (glucagon et insuline, par exemple) et les facteurs de croissance (épidermique, nerveuse, du fibroplaste, dérivé des plaquettes, etc).

Les cellules mammaliennes ont, également, besoin d’une technologie très sophistiquée car les cuves industrielles de l’agriculture cellulaire ne fonctionnent pas avec de l’huile de coude ! Elles nécessitent beaucoup d’énergie de stimulation, de brassage… et d’élimination du célèbre produit de la respiration cellulaire : le dioxyde de carbone ou CO2. L’agriculture cellulaire en cuves est, strictement, dépendante d’une source permanente d’électricité.

D’ailleurs, tous aux abris : son altesse psychotique du Réchauffement Climatique Anthropique™, au dioxyde de carbone, Greta Thunberg, vient de remonter sur scène pour implorer le monde de lutter, conjointement, à l’encontre de la fausse pandémie de l’inexistant CoqueVide/19 et à l’encontre de la fausse alerte d’un réchauffement climatique tout autant inexistant. [51] Dernièrement – car l’été arrive – certains journalistes à la botte, et nourris à la botte de foin avarié, n’hésitent pas même à déclarer que le Réchauffement Climatique™ est l’un des facteurs aggravants de la fausse pandémie de CoqueVide/19…

A cet effet, les cyanobactéries constituent une source de nourriture potentielle – car elles contiennent jusqu’à 70 % de protéines. On leur ajoute, alors, des vitamines et, surtout, des “vecteurs de croissance animale”, à savoir des bactéries chimériques (génétiquement modifiées) de l’espèce Escherichia coli

Les cyanobactéries sont les entités vivantes les plans anciennes sur la planète Terre et il en existe plus de 7500 espèces répertoriées à ce jour. Si l’on se réfère à une étude publiée sur le net, les cyanobactéries croissent, également, sur milieu minéral. Voici, par exemple, l’une des recettes pour leur culture : nitrate de sodium, monohydrogénophosphate de potassium, sulfate de magnesium heptahydraté, chlorure de calcium dihydraté, acide citrique monohydraté, EDTA disodique, carbonate de sodium, citrate de fer ammoniacal… en sus de “mélanges métaux” (H3BO4, MnCl2, 4 H2O, ZnSO4, 7 H2O, etc, etc). [39]

Ces cyanobactéries peuvent être cultivées dans des réservoirs à ciel ouvert et elles sont “alimentées” avec de l’azote de synthèse ou avec des eaux riches en nutriments, par exemple les eaux dites “usées” dénommées également “effluents liquides” – un doux euphémisme pour décrire des eaux polluées.  

 

Ne serait-ce pas l’occasion rêvée, pour les Autorités et la Mafia agro-alimentaire, de se parer vertueusement de respectabilité écologique en “recyclant”, au coeur des cuves de nourrissement des cyanobactéries – qui elles-mêmes nourrissent les cellules de fausse viande – toutes les eaux usées, les boues d’épandage et, bien sur, tous les lisiers provenant de l’élevage industriel… du moins tant qu’il existera des cochons et des bovins élevés pour la viande dans la mesure où l’objectif de la viande cellulaire est, justement, de les éliminer, à jamais, de la chaine alimentaire.

Quant au lisier humain, si les transhumanistes de l’agriculture cellulaire veulent l’utiliser pour leurs cuves de nourrissement des cyanobactéries, ils vont devoir entrer en compétition avec les promoteurs de l’agriculture toxique… En effet, en Australie, les fertilisant peuvent coûter entre 200 et 1500 dollars la tonne (tourteau de luzerne, fumier de poule, etc) et les agronomes locaux ont “découvert” qu’ils pouvaient recycler le lisier humain en plein champ (après un traitement industriel) afin d’obtenir jusqu’à 65 % d’accroissement de productivité pour le blé, par exemple. Outre l’aspect fertilisant direct du lisier humain, les agronomes ont “découvert” que cet apport permettait d’assouplir, à une profondeur de 30/40 cm, les sols très argileux de l’Australie. [159]

En France, la compétition quant à l’usage privilégié des boues d’épandage, et autres lisiers, sera moins féroce, pour les éleveurs de cyanobactéries, car il paraitrait, même, que les Hautes Autorités Sanitaires Françaises (tous aux abris !!) commencent à débuter à suspecter que l’on pourrait en arriver, tranquillement, à concevoir que, selon le titre de l’ImMonde, “Les épandages agricoles sont à l’origine de pollution aux particules fines dont des études montrent qu’elles aggravent la mortalité du Covid-19”. [203]

Les cellules en cuves peuvent être alimentées, également, par les peptides et les acides aminés obtenus par hydrolyse de soja ; ou par les glucoses extraits de l’amidon de maïs. 

Le glucose de maïs s’obtient à partir d’amidon de maïs processé à l’aide de quelques substances industrielles : de la chaux, de l’acide sulfurique, du chlore, de l’hydroxyde de sodium (soude caustique) et des enzymes (α-amylase et glucoamylase).

Il fut un temps, récent, où la moitié du maïs cultivé – aux USA, par exemple – était utilisé pour l’élaboration de nécro-carburants. Voir mon article de 2007 : “Mettez du sang dans votre moteur! La tragédie des nécro-carburants”. [192] De par le confinement généralisé, planétaire et dictatorial, de par la destruction programmée de l’économie mondiale – et pour d’autres raisons géo-politiques – les cours du pétrole se sont effondrés en 2020… ce qui provoque une faillite de tout le secteur des nécro-carburants à base de maïs. Ce secteur, archi-subventionné, était déjà très mal en point, auparavant, de par son coût extrêmement élevé.

On peut, ainsi, imaginer qu’une partie de la production du maïs (qui survivra aux épisodes de gelées, de neiges et d’inondations du présent Grand Minimum Solaire) va être, expressément, redirigée pour la production de glucose au service de l’agriculture cellulaire chimérique en cuves. Ainsi, ce maïs, au lieu de se retrouver dans des réservoirs d’automobiles, va se retrouver dans des réservoirs à viande cellulaire.

Les mycoprotéines constituent, également, une autre source de choix pour l’agriculture cellulaire. Dans les années 1970, la compagnie Anglaise RHM, Rank Hovis McDougall, étudia les capacités de milliers d’espèces de champignons à croître dans des cuves de glucose. Après 15 années de recherches et un partenariat avec Imperial Chemical Industries – et après un milliard de livres sterling d’investissements – une autorisation de mise sur le marché fut conférée par le gouvernement UK, en 1984, à la nouvelle entreprise Marlow Foods.

Durant la même période, RHM et Imperial Chemical Industries collaboraient à la production d’un produit protéiné (à 72 %), dénommé Pruteen™, dans un bio-fermenteur de 80 mètres de hauteur et d’une capacité de 1500 tonnes. Pruteen était confectionné à partir d’un micro-organisme aérobique, la bactérie Methylophilus methylotrophus, croissant dans du méthanol.

Ainsi, depuis 1985, de la viande végétarienne – sous la marque Quorn™ – est produite à partir de mycoprotéines, à savoir des protéines fermentées, en cuves, à base de champignons filamenteux de l’espèce Fusarium venenatum – un champignon découvert, en 1967, sur de l’ergot de seigle. Les produits Quorn sont distribués, au Royaume Uni, par la chaine de supermarchés Sainsbury, une filiale de la multinationale Monde Nissin des Philippines. 

Aujourd’hui, le champignon filamenteux Fusarium venenatum est cultivé, dans une usine du nord de l’Angleterre, par des bio-réacteurs de 40 mètres de hauteur qui produisent 60 tonnes de mycoprotéines, quotidiennement. Le processus de fermentation dure un mois jusqu’au point où l’accumulation de mutants filamenteux, courts et hyper-ramifiés, risque d’impacter la qualité du produit. À sa sortie du fermenteur, le bouillon fongique est processé par de la chaleur afin de réduire le contenu en ARN. Il est ensuite centrifugé afin d’éliminer la partie liquide et de ne conserver qu’une sorte de pâte qui est alors mélangée avec des arômes et une protéine (généralement du blanc d’oeuf), afin d’aligner et de croiser les hyphes. La pâte obtenue est chauffée de nouveau, refroidie et congelée afin de lui donner l’apparence d’une viande fibreuse telle que celle d’un muscle. 

C’est du sirop de glucose pur qui est utilisé comme principale source de carbone pour la croissance de ce champignon à mycoprotéines, le Fusarium venenatum. En sus de glucose pur, ce champignon est alimenté avec des sels purifiés, de l’ammoniaque et des vitamines B (Biotine et Choline). Pour produire 1 kg de mycoprotéine, il faut environ 2 kgs de blé (dans le cas de la production de Quorn en Angleterre) ainsi que 2000 litres d’eau.

Les lecteurs anglophones passionnés par le sujet de l’alimentation à base de champignons, de bactéries et autres micro-organismes sont invités à consulter l’étude très précise du chercheur Suédois, Tomas Linder, qui est intitulée “Making the case for edible microorganisms as an integral part of a more sustainable and resilient food production system”. [52]

Quelle est la provenance de ce sirop de glucose ? C’est, bien évidemment, l’agriculture en plein champ qui produit du blé, du maïs, de la betterave à sucre ou de la canne à sucre. Les propagandistes de cette viande de champignon vantent le fait qu’1 kg de mycoprotéine contient beaucoup plus de protéines que les 2 kgs de blé utilisés pour son élaboration – grâce au processus de fermentation. Mais à quel prix technologique ? 

D’ailleurs, certains propagandistes des mycoprotéines évoquent la possibilité de nourrir directement le champignon Fusarium venenatum avec une soupe comprenant de l’acide acétique, de l’ammoniaque ainsi que des sels minéraux et des oligo-éléments. Les plus lobotomisés d’entre eux – ceux qui sont convaincus que le dioxyde de carbone est un poison violent réchauffant l’atmosphère – évoquent même, la possibilité de synthétiser chimiquement de l’acide acétique, à partir de dioxyde de carbone, afin de produire de la viande de mycoprotéines. Et ce afin de dissocier la production d’une telle viande fongique des processus de photosynthèse et du recours à des terres arables.

Les cellules en cuves doivent être alimentées, également, avec de la glutamine, un acide aminé qui est considéré comme “de 10 à 100 fois plus important” [53] (en fonction des vendeurs glutamineurs), pour la confection d’aliments cellulaires, que d’autres acides aminés tels que la tyrosine et la cystine. La glutamine favorise la croissance des cellules requérant un haut niveau d’énergie et elle synthétise de grandes quantités de protéines et d’acides nucléiques. C’est, ainsi, une source d’énergie alternative pour induire une prolifération rapide de cellules – et surtout celles qui ne métabolisent pas le glucose de manière assez performante. 

La glutamine s’obtient, par exemple, à partir d’un savant mélange de glucose, de liqueur de maïs fermenté, de sulfate d’ammonium, de phosphate de monopotassium, de sulfate de magnésium heptahydraté, de sulfate de manganèse monohydraté, de sulfate de zinc heptahydraté. La glutamine s’obtient, également, par hydrolyse de protéines telle que celle du gluten.

Pour la culture cellulaire, la multinationale de Big Pharma, Merck, par exemple, propose des produits et autres solutions à base de glutamine. Certaines de ces solutions sont, parfois, agrémentées d’un cocktail d’antibiotiques, telles que la gentamicine, la pénicilline, la streptomycine… [41] Mais qui va s’offusquer du fait que la viande cellulaire soit nourrie aux antibiotiques lorsque la viande organique industrielle en est imprégnée depuis des dizaines d’années ?

Si d’aucuns prétendent que l’agriculture cellulaire est tout ce qu’il y a de plus naturel, il n’est que de consulter les brevets déposés, par exemple, par Memphis Meat, l’une des entreprises très financées par Bill Gates, pour prendre conscience que tout ce système ne fonctionne que grâce à de la chimérisation, à savoir grâce à des modifications et manipulations génétiques – parfois dénommées “transgéniques”. [42] [43] En effet, l’un des problèmes rencontrés dans les cuves de cultures cellulaires industrielles est la production d’ammoniaque générée par la respiration cellulaire qui s’avère toxique lorsqu’elle n’est pas contrôlée. L’un des brevets de Memphis Meat concerne donc la sur-expression de la glutamine synthétase, une enzyme transformant l’ammoniaque en glutamine. Mais tout cela reste de la haute voltige car, comme un gène peut contrôler l’expression de plusieurs protéines, la sur-expression de la glutamine synthétase peut altérer l’expression d’autres protéines.

Par conséquent, si tant est qu’un public de bobos, et autres babas cools d’obédience Thunbergiste, préfère, pour sauver le Climat, consommer de la fausse viande “non OGM”, ils devront désélectionner Memphis Meat, de leur panier de provisions, car leur fake viande est résolument chimérique. 

Memphis Meats a déposé d’autres brevets impliquant, strictement et exclusivement, des techniques de chimérisation [44]  [45] et il en est de même pour l’entreprise Wild Type qui produit du saumon cellulaire ainsi que du foie gras cellulaire. Le brevet de Wild Type présente un processus dont l’objectif est de modifier génétiquement une cellule afin d’en exprimer un gène intéressant (par exemple pour empêcher la différenciation et favoriser la prolifération) et, subséquemment, d’éliminer ce gène de la cellule – afin de pouvoir présenter, commercialement, le faux poisson ou le faux foie gras comme non OGM. [46] Les processus de chimérisation utilisés par Memphis Meats ou Wild Type incluent le recours aux antibiotiques doxycycline et tétracycline.

Wild Type a, également, identifié le glucomannane provenant de l’espèce Amorphophallus konjac, de l’Asie du sud-est, comme un matériau prometteur d’échafaudage comestible de ses chairs cellulaires.

Ils devront, également, désélectionner l’entreprise Impossible Foods dont la fausse viande est confectionnée avec une protéine dénommée léghémoglobine – permettant de conférer à cette fake viande une saveur de vraie viande. Impossible Foods a développé, en effet, une souche de levure chimérique contenant un gène de soja afin de produire cette léghémoglobine recombinante. Elle est considérée, par la FDA, aux USA, comme “généralement reconnue comme sans risque” – selon la formule conventionnelle permettant de gaver les populations avec des chimères génétiques alimentaires.

Dans la Nature, la léghémoglobine a comme fonction de gérer l’accès à l’oxygène dans les nodules spécialisés présents dans les racines de soja, et d’autres légumineuses. Des bactéries symbiotiques, présentes dans ces nodules des Fabacées, ont comme mission de transformer l’azote atmosphérique en ammoniaque qui est subséquemment métabolisé par les plantes pour la production de protéines et d’acides nucléiques.

Ils devront, également, désélectionner l’entreprise Perfect Day qui utilise des levures chimériques, alimentées par du glucose, afin de produire des protéines de lait, telles que de la caséine et du petit lait, et donc des produits laitiers, sans substances animales. L’un des directeurs de Perfect Day précise que «Nous ne sommes pas là pour détruire l’industrie laitière. De nombreuses autres start-ups ont de tels objectifs plus militaristes»

Il est très clair qu’il existe de très nombreuses souches de levures chimériques pour la production de protéines recombinantes dans le secteur de l’agriculture cellulaire. Les principales espèce de levure chimérisée pour la production de protéines recombinantes sont Saccharomyces cerevisiae, Pichia pastoris, Yarrowia lipolytica, Hansenula polymorpha, Schizosaccharomyces pombe, Kluyveromyces lactis. Ce sont ces mêmes levures chimériques qui jouent, également, un rôle fondamental dans la production de protéines recombinantes qualifiées de “thérapeutiques” par Big Pharma. Ces protéines pharmaceutiques représentent, en effet, un marché annuel de près de 100 milliards de dollars. Elles sont particulièrement utilisées pour la production des vaccins de la Pharmacratie génocidaire.

Par conséquent, il est patent que c’est la même Mafia Agro-Pharma qui contrôle les chimères génétiques constituant l’un des fondements permettant de concocter des fausses viandes et autres faux produits laitiers. Et selon les aveux de certains protagonistes dans ce secteur, leurs objectifs sont authentiquement “militaristes” – à savoir qu’ils intentionnent, très sincèrement, de détruire l’agriculture traditionnelle.

Une étude, de 2015, intitulée “Anticipatory Life Cycle Analysis of In Vitro Biomass Cultivation for Cultured Meat Production in the United States” présente une liste des ingrédients basiques devant être inclus dans le médium de culture de la viande cellulaire. [47] 

Au risque d’être impitoyablement exhaustif et extrêmement précis, la voici, dans toute sa simplicité complexe – afin de mettre en exergue que l’agriculture cellulaire n’est pas à la portée de tout jardinier amateur ou, même, de tout paysan chevronné. La liste suivante comprend plus d’une soixantaine d’intrants, dénommés “compléments alimentaires”. Bon Appétit et bonne Chance ! Avec la fausse viande cellulaire, nous ne sommes pas au pays des Bisounours.

Acides aminés : Alanine, hydrochlorure d’Arginine, Asparagine, acide Aspartique, Cystine, acide Glutamique, Glutamine, hydrochlorure d’Histidine, Isoleucine, Leucine, hydrochlorure de Lysine, Méthionine, Phénylalanine, Proline, Sérine, Thréonine, Tryptophan, sel de disodium de Tyrosine, Valine.

Vitamines : Adénine, Biotin, chlorure de Choline, Pantothénate de Calcium, acide folique, Inositol, Niacinamide, hydrochlorure de Pyridoxal, Riboflavine, hydrochlorure de Thiamine, Vitamine B12.

Sels inorganiques : Ammonium métavanadate, chlorure de Calcium, chlorure de Cuivre, sulfate de Cuivre, citrate de Fer, nitrate de Fer, sulfate ferrique, sulfate de Manganèse, sulfate de Magnésium, acide Molybdique, chlorure de Nickel, chlorure de Potassium, nitrate de Potassium, bicarbonate de Soude, chlorure de Sodium, métasilicate de Sodium, phosphate dibasique de Sodium, sélénite de Sodium, chlorure stannique, sulfate de Zinc heptahydraté.

Autres intrants : Albumine, Dexaméthasone, Dextrose, Ethanolamine, HEPES (ou acide 4-(2-hydroxyéthyl)-1-pipérazine éthane sulfonique), acide Linoléique, Phosphatidylcholine, rouge de Phénol, Putrescine, Pluronic F68 (un stabilisateur cellulaire), Insuline humaine recombinante, Pyruvate de Sodium, acide Thioctique, Thymidine, Transferrine.

Il est hautement probable que les présentes, et futures, législations Européennes, ou Internationales, ne requièrent pas, des industriels de la viande cellulaire, qu’ils énumèrent la liste impressionnante des intrants “industriels” composant leur medium de croissance.

D’ailleurs, s’il en est de ces intrants industriels comme des antibiotiques et autres remèdes de l’allopathie, ils proviennent tous, quasiment, de Chine. Ceux qui prônent une production locale de viande cellulaire industrielle, au sein des mégapoles, sont des menteurs hypocrites, pollueurs et toxiques.

Le 22 mai 2020, deux jours après que la Commission Européenne ait publié sa nouvelle stratégie dictatoriale, de la Ferme à la Table, la Food and Drug Administration (FDA), aux USA, a annoncé une nouvelle mesure réglementaire permettant de modifier, “temporairement”, la liste des ingrédients, d’un produit alimentaire, sans en référer sur l’étiquetage – au prétexte de perturbations dans les systèmes de distribution en raison du CoqueVide/19 ! Et à condition, bien évidemment, que cela ne dépasse pas 2 % du contenu total… ce qui conviendra fort bien aux vendeurs de fake viande afin de cacher aux yeux du public toutes les abominations synthétiques ou chimériques qu’ils y incluent – ou même non végan, par exemple, le sérum animal. [307] Un mois avant, le Ministère de l’Agriculture des USA (USDA) avait promulgué un décret permettant, “temporairement”, aux industriels de l’alimentation de ne pas noter, sur l’étiquetage, la provenance géographique de leurs ingrédients – au prétexte de perturbations occasionnées par le CoqueVide/19 dans l’acheminement des denrées alimentaires !  [309]

A propos d’étiquetage, certains états des USA ont commencé à contre-attaquer à l’encontre des mansuétudes de la FDA vis à vis de la mafia industrielle qui se cache derrière les fake viande. Dans l’état d’Oklahoma, par exemple, un décret a été promulgé, l’an passé, interdisant aux industriels de la fake viande de libeller leurs produits en tant que “viande”. [308] Les états du Montana, du Dakota du sud, de l’Arkansas, du Mississippi, du Missouri en ont fait de même – à savoir les états dont l’économie est fondée, en partie, sur l’élevage intensif.

D’autant plus que ces industriels vont invoquer le secret professionnel afin de ne pas divulguer la liste des substances “suspectes” que leur médium de culture pourrait receler. En effet, certains industriels de l’agriculture cellulaire, au moment de la phase dénommée “différenciation cellulaire”, y introduisent du sérum de foetus de veau, du sérum de foetus bovin, du sérum de cheval ou, encore, des extraits d’embryon de poulet.

Les esprits curieux sont invités à consulter une étude Française (rédigée en Anglais, bien sûr) de l’Inserm/CNRS intitulée “Complex Interactions between Human Myoblasts and the Surrounding 3D Fibrin-Based Matrix”. Il y est évoqué quelques substances entrantes dans un médium dont la mission est d’alimenter des cultures cellulaires de muscles humains extraites d’un quadriceps d’un garçon de 12 ans. Ce sont du sérum de cheval, du sérum de foetus de bovin, des antibiotiques (pénicilline et streptomycine), du phosphate sodique de dexaméthasone, de l’aprotinine… [48] Ces cultures cellulaires sont cultivées dans des médiums industriel – dénommés, par exemple, Ham’s F10 ou Ham’s F12, produits par Gibco – qui contiennent une gamme impressionnante d’acides aminés, de vitamines, de sels inorganiques et autres intrants à l’instar de la liste extensive présentée ci-dessus. [49]

Dans la mesure où la présence de sérums et extraits de foetus animaux pourrait faire tousser les hystériques du véganisme, les industriels et chiméristes de l’agriculture cellulaire font de leur mieux pour leur substituer d’autres substances, protéiques ou non – prétendument moins suspectes. Il s’agit, par exemple, d’extraits de champignons shiitake ou d’hydrolysats de soja ou, encore, de transferrine, d’insuline, de séricine, de sélénite, divers acides aminés, diverses vitamines, etc, etc.

Les esprits curieux sont invités à consulter le blog de Tommaso Lucchesi qui présente un article très circonstancié, d’octobre 2019, sur les possibilités de remplacement, pour l’industrie agricole cellulaire, des sérums et extraits de foetus animaux : “Primer : FBS in cell-based meat R&D”. [54] Cet article surfe sur une étude publiée en 2010 et intitulée  “Serum-free Cell Culture: The Serum-free Media Interactive Online Database”. [55]

On y apprend que la quantité de Sérum Foetal Bovin produite, de par le monde, n’est pas, franchement, connue mais qu’elle est estimée à 500 000 litres annuellement – provenant de plus d’un million de foetus bovins.

Les esprits curieux sont invités, également, à investiguer les relations potentielles existant entre ces sérums animaux et les pathologies humaines… D’autant plus lorsque l’on prend conscience que lors de la “Grippe Espagnole” de 1918/1920 – qui était une pneumonie bactérienne ainsi que je l’ai expliqué dans mon essai “Vaccinations Anti-Méningite et Pathologies Respiratoires Imputées au Coronavirus ID/2019” [137] – les sérums, médications et vaccins, concoctés par la Fondation Rockefeller et distribués dans le monde entier, étaient élaborés dans des chevaux vivants. D’ailleurs, c’étaient ces mêmes chevaux, de laboratoire, qui étaient utilisés pour la préparation de divers sérums supposément à l’encontre de la méningite, du tétanos, de la diphtérie… A savoir, les mêmes chevaux qui jouaient le rôle de “bio-fermenteurs” lorsqu’ils étaient inoculés avec divers pathogènes afin de produire des sérums à des millions d’exemplaires – afin de “nécro-fermenter” les corps humains…

Dès le début des années 1890, le docteur Emile Roux – un émule de Pasteur l’Imposteur – utilisait, à Paris, des chevaux comme usines vivantes afin de produire, à grande échelle, du sérum riche en “anticorps” contre la toxine bactérienne diphtérique. [142]  [143]

J’invite, ainsi, les lecteurs anglophones souhaitant prolonger mes investigations, eu égard à la nature strictement bactérienne de la pandémie dénommée “Grippe Espagnole”, de 1918/1920, à consulter les essais publiés par Kevin Barry – le président de l’organisation anti-vaccinale, First Freedoms – sous le titre “Did a Vaccine Experiment on US Soldiers Cause the Spanish Flu ?” [139] [140] Et à consulter, de même, l’étude publiée par Floor Haalboom, intitulée “Spanish flu and army horses : what historians and biologists can learn from a history of animals with flu during the 1918–1919 influenza pandemic”, commentant les travaux et hypothèses d’Emile Bemelmans (1878–1935), en Hollande, quant à l’étrange similarité entre les symptomes de la “grippe” chez les humains et une pathologie infectieuse de la poitrine chez les chevaux. [141]

«J’ai été témoin sur place de l’épidémie de grippe de 1918. Tous les médecins et les gens qui ont vécu à l’époque de l’épidémie de grippe espagnole de 1918 disent que ce fut la maladie la plus terrible que le monde ait jamais connue. Des hommes vigoureux et robustes pouvaient ainsi mourir du jour au lendemain. La maladie présentait les aspects de la peste noire, comme aussi de la fièvre typhoïde, de la diphtérie, de la pneumonie, de la variole, des maladies paralytiques, comme d’autres maladies contre lesquelles les populations avaient été vaccinées juste après la première guerre mondiale. On avait administré quantité de vaccins et de sérums toxiques à pratiquement toute la population. La situation devint réellement tragique quand éclatèrent tout d’un coup ces maladies engendrées par la médecine.» Doctoresse Eleanor McBean dans son ouvrage de 1977 “Swine flu Exposed”. [138]

Pour en conclure avec cette longue section sur l’agriculture cellulaire, précisons que les divagations et élucubrations “nutritionnelles”, des eugénistes et des transhumanistes, n’ont, comme l’affirment certains, que le ciel pour limite. Les deux eugénistes forcenés, Bill Gates et Al Gore, viennent, au travers de leurs fonds d’investissements, respectivement Breakthrough Energy Ventures et Generation Investment Management, de financer, à hauteur de 80 millions de dollars, la société  Nature’s Fynd (anciennement Sustainable Bioproducts). Parmi les investisseurs se trouvent les multinationales Danone et Archer Daniels Midland Company (ADM). En 2018, Nature’s Fynd avait déjà levé 33 millions de dollars d’investissements.

L’objectif de cette entreprise de l’agriculture cellulaire est d’élaborer, par des processus de fermentation, des protéines permettant de confectionner des boissons, des fausses viandes ou des faux produits laitiers, à base d’un micro-organisme fongique découvert, par des chercheurs de la NASA, dans les sources géothermales du méga-volcan du Yellowstone, aux USA. L’équipe dirigeante vient d’accueillir, dans ses cadres, Tony Vernon, l’ancien directeur du groupe alimentaire Kraft Foods/Mondelēz International et ancien administrateur de WhiteWave Foods – une société très impliquée dans les laits végétaux (Silk et So Delicious) et qui fut rachetée par la multinationale Danone en 2017. [189]  [190]

La production des mycoprotéines volcaniques “vegan”, de Nature’s Fynd, a débuté fin mars 2020, à Chicago, avec en perspective une centaine d’employés d’ici la fin de l’année. Le micro-organisme découvert contient les 9 acides aminés essentiels ainsi que des fibres, du calcium et des vitamines. Ce micro-organisme fongique extrêmophile a été dénommé Fusarium str. yellowstonensis.

Comme nous l’avons mentionné ci-dessus, les mycoprotéines volcaniques, de Nature’s Fynd, sont nourries, également, avec du glucose, sur des plateaux disposés dans des chambres de fermentation. Selon les prétentions de son fondateur, Thomas Jonas, son installation de 3500 mètres carrés, à Chicago, peut produire autant de burgers que 8000 hectares de pâturages à bovins destinés à la viande – mais avec seulement 1 % de la terre, 1 % des “émissions de gaz de serre” et 10 % de l’eau. Cela voudrait dire que 80 hectares de production de maïs, pour le glucose, seraient suffisants pour produire la même quantité de protéines qu’environ 8000 bovins. Et cela reste à prouver… car Thomas Jonas est très prudent de ne pas s’aventurer à présenter les vrais chiffres de sa production de burgers volcaniques aux fusariums fermentés. Thomas Jonas préfère présenter des simulations…

L’Agriculture cellulaire chimérique : au secours de la Planète et du Climat.

La propagande présentée, sur son blog, [20] par l’entreprise Hollandaise Mosa Meat, reflète, typiquement, les messages “écologiques” promus par toutes les entreprises engagées dans l’agriculture cellulaire. Il s’agit de protéger l’environnement, et le climat, en prétendant que cette viande cellulaire produit 96% en moins de gaz de serre et utilise 99 % en moins de terre et 96 % en moins d’eau que la viande d’élevage. Il s’agit, ensuite, de protéger la santé humaine car la viande cellulaire est produite dans un environnement considéré comme sain à partir d’ingrédients dits naturels – à  savoir exempts de la contamination chimique et bactérienne que l’on trouve dans la viande conventionnelle. Il s’agit, enfin, de sauver des milliards d’animaux qui n’auront pas à faire l’expérience des usines d’élevage, de la souffrance et du massacre.

En 2018, Beyond Meat a commissionné le Center for Sustainable Systems de l’Université du Michigan a établir une comparaison entre la production d’un burger sans viande et de la viande de boeuf. Selon ce rapport, la fausse viande des Beyond Burgers de Beyond Meat nécessiterait 46 % en moins d’énergie, 99 % moins d’eau et 93 % moins de terre et elle produirait 90 % de moins “d’émissions de gaz de serre”. [31]

Selon un rapport du Good Food Institute, la fausse viande cellulaire, en comparaison du vrai boeuf, nécessiterait 95 % moins de terre ; elle produirait de 74 à 87 % de moins “d’émissions de gaz de serre” ; elle générerait 94 % en moins de pollution des nutriments.

Les propagandistes de l’agriculture cellulaire ont fait appel à de multiples laboratoires, universités et autres centres de recherches pour pondre de multiples rapports prouvant que tous leurs produits cellulaires sont extrêmement plus écologiques que les produits réels de l’agriculture et de l’élevage.

Rappelons que la Fondation Bill Gates constitue l’une des principales sources de financements de toutes ces études grotesques.

Il faudrait quasiment rédiger un article entier pour déconstruire et invalider les arguments débiles, et fallacieux, présentés par toutes ces études dont l’objectif est, strictement, la destruction de l’élevage et de l’agriculture – sur toute la planète.

Leur premier argument, asséné dans de multiples études, articles et revues, concerne le fait que l’élevage et l’agriculture contribueraient, grandement, au dérèglement du climat – à savoir au Réchauffement Climatique Anthropique™ – de par leurs “émissions de gaz de serre”. C’est totalement faux… d’autant plus que la planète est en cours d’entrer dans une période de refroidissement global dû à un Grand Minimum Solaire.

De plus, si l’on se réfère aux données du Ministère de l’Environnement des USA (EPA) quant à la production de ces “émissions de gaz de serre”, l’agriculture et l’élevage seraient responsables de 9 %, seulement, de ces émissions alors que les transports seraient crédités de 29 %, la production d’électricité de 28 %, l’industrie de 22 % et le secteur résidentiel et commercial de 12 %. 

Aux USA, par exemple, entre les années 1909 et 2015, le nombre de véhicules est passé de 312 000 à 264 millions – à savoir ,une augmentation d’environ 27 000 %. Durant le même laps de temps, le nombre de bovins, pour le lait et la viande, a diminué de  58 %.

Leur second argument quant à l’extrême dangerosité de l’élevage et de l’agriculture (antibiotiques, contaminations bactériennes, pollutions par les engrais chimiques et les milliers de biocides, boues d’épandage, etc) fait, bien évidemment, référence à l’agriculture/élevage toxiques de Big Pharma. Les industriels et propagandistes de l’agriculture cellulaire semblent avoir oublié que l’agriculture dite biologique, à savoir saine, existe encore et qu’elle a même existé, de tous temps, avant l’introduction de l’agriculture chimique dès 1842 – par Justus Liebig-Möser.

C’est en 1844 que Liebig/Möser publia son “Précis de Chimie” qui signa l’arrêt de mort de l’agriculture naturelle, dite biologique. Ce fut le lancement de la Mafia Industrielle Agro-Pharmaco-Chimique et ce fut dramatique pour le monde entier, et cela l’est encore, ainsi que pour l’intégralité de le Biosphère Vivante qui en est très impactée.

Leur troisième argument selon lequel les produits animaux (viandes, produits laitiers, etc) seraient intrinsèquement nocifs pour la santé humaine de tous les Peuples de la planète – quelle que soit leur constitution génétique et quel que soit le biotope dont ils ont émané – sont tellement ridicules… 

… que nous allons laisser ces fieffés menteurs, du haut de leur nécro-fermenteurs, de 40 ou de 80 mètres de hauteur, discourir pompeusement pour mieux lobotomiser tous ceux et toutes celles dont les circuits neuronaux ont, déjà, été fortement avariés par une vie entière de fast-food, d’antibiotiques à gogo, de vaccins génocidaires et de publicités insensées déversées, quotidiennement, par les télé/fissions, et autres vecteurs d’intoxication, du complexe-militaro-industriel – et de leurs Valets d’Etat. 

Leur quatrième argument quant à la cruauté de tuer des animaux, afin de consommer leur viande, pue l’hypocrisie abjecte dans un monde où 30 000 personnes, surtout des enfants, meurent de faim tous les jours ; où 5000 personnes, surtout des enfants, meurent de malaria tous les jours ; ou des guerres de libération massacrent des populations entières, au quotidien, afin que la France, et quelques autres pays Occidentaux, vendent des trillions de dollars d’armements pour faire vivre leur économie nationale, à savoir pour engraisser les multinationales du complexe-militaro-industriel.

A propos, qui, aujourd’hui, dénonce le fait que la France soit le second ou troisième vendeur d’armements au monde – en fonction des campagnes de génocides programmées par l’Organisation pour le Nivellement Universel ? Qui, aujourd’hui, dénonce le fait que 15 % des salariés de France travaillent pour l’Industrie des armements et pour le complexe militariste ? Voir l’article “Pandémie de la dépense militaire” sur le site d’EAR qui précise que «Chaque minute environ 4 millions de dollars sont dépensés dans le monde à des fins militaires. C’est ce qu’indiquent les dernières estimations du SIPRI : en 2019 la dépense militaire mondiale a presque atteint les 2000 milliards de dollars, le plus haut niveau depuis 1988, en net d’inflation… Parmi les pays européens de l’OTAN, la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni sont en tête avec environ 50 milliards chacun». [233]

Patrick O. Brown, le fondateur d’Impossible Foods, a récemment déclaré : «Impossible Foods a craqué le code moléculaire de la viande en commençant par le boeuf haché qui est intrinsèque au marché Américain. Aujourd’hui, nous allons accélérer l’expansion de notre gamme de produits afin d’y intégrer encore plus des nourritures favorites au monde. Nous n’arrêterons pas tant que nous n’aurons pas éliminé le besoin pour des animaux dans la chaine alimentaire et tant que le système d’alimentation globale ne sera pas devenu soutenable». Et Laura Kliman, l’une de ses expertes en chimères génétiques, d’ajouter : «Tout un chacun va pouvoir apprécier Impossible Pork sans faire de compromis avec la saveur, avec l’éthique et avec la Terre». Patrick O. Brown s’est fixé la date de 2035 «pour remplacer globalement le recours aux animaux en tant que technologie de production de nourriture». Et d’ajouter : «Et c’est sans équivoque la mission la plus importante au monde. Point à la ligne».

Le concept d’alimentation durable, et respectueuse de la Terre, de Patrick O. Brown, est fondée sur de la levure chimérique afin de produire de la léghémoglobine recombinante permettant de conférer à sa fake viande un vrai goût de viande. Qui va arrêter ces déments dans leur destruction systématique, inexorable et programmée, de l’agriculture et de l’élevage ? Car ces déments sont déchainés et brassent beaucoup d’argent de par les largesses des Bill Gates, Al Gore et autres globalistes et banksters…

Cette offensive de destruction de la viande aux USA n’est que la continuation de la destruction intégrale et gratuite, par les colonisateurs Européens, de la principale source de protéines des Peuples Amérindiens en Amérique du nord, à savoir les bisons – dont l’existence était indissociable de la bonne santé des prairies Américaines. [292]

En 2018, l’Organisation pour le Nivellement Universel, l’ONU, attribua son prix “Champions of the Earth Award”, dans le secteur Science et Innovation, aux entreprises Impossible Foods et Beyond Meat.

Impossible Foods est innovant… au point de proposer ses burgers écologiques, Impossible Burger et Beyond Burger, sauveurs de climat, à la saveur de glyphosate – un herbicide rendu célèbre par le gang Monsanto. En effet, l’organisation US, Moms Across America, a dénoncé, en 2019, la présence intempestive de glyphosate dans les burgers écologiques de cette entreprise de nécro-technologie. Impossible Foods a réagi, par presse, en traitant cette organisation de complotiste fondamentaliste anti-science, anti-OGM, anti-vaccins, etc. [291] Business as usual.

A propos, quelle est, donc, la composition écologique des Impossible Burgers ? En voilà une : eau, concentré de protéine de soja chimérique, huile de coco, huile de tournesol, arômes naturels, protéine de pomme de terre, méthylcellulose, extrait de levure chimérique, dextrose fermentée, léghémoglobine de soja chimérique, sel, isolat de protéine de soja chimérique, tocophéroles, gluconate de zinc, thiamine hydrochloride, vitamine C, niacine, pyridoxine hydrochloride, riboflavine, vitamine B12.

Prenons l’exemple du Royaume-Uni. Dans ce pays, le sort des agriculteurs est dans la main d’experts auto-proclamés, tel que le Professeur Sir Ian Boyd – un ancien conseiller scientifique environnemental du gouvernement – qui préconise que la moitié du territoire agricole du pays soit transformée en bois, et en espaces verts, afin de restaurer la vie sauvage et de “sauver le Climat”. Ce professeur, en plein confinement dictatorial, a l’audace de louer, hypocritement, les bénéfices que les séjours dans la Nature confère à la santé humaine… alors même que les Autorités criminelles empêchent les citoyens d’aller dans les forêts, dans les parcs et sur les plages – pour cause de contagion coronavirale extraordinaire et mortelle !

Selon Sir Ian Boyd, le recyclage au vert de la moitié du territoire agricole, du Royaume-Uni, permettrait, dans un premier temps, de réduire l’élevage de moutons et de bovins de 90 % tandis que les éleveurs seraient rémunérés pour planter des arbres – afin de fixer du carbone – plutôt que pour vendre des animaux destinés à la viande ou autres produits tels que le lait. Vu que les terres agricoles, dans ce pays, occupent 70 % de l’espace national, le recyclage vert de la moitié de ces terres redonneraient une jeunesse “sauvage” au tiers du territoire. [183]

Cet expert préconise, donc, de mettre en place des “fermes verticales” afin d’économiser de l’espace et l’on présume que ces unités verticales accueilleraient des milliards d’insectes ou bien, alors, des “bio-fermenteurs”, de viande cellulaire, de 50 à 100 mètres de hauteur – qui permettraient d’agrémenter le paysage à l’image des tours de refroidissement des centrales d’énergie nucléaire.

En mai 2019, l’organisation Rewilding Britain [184] (vraisemblablement un pseudopode du gang de Soros) a émis les mêmes propositions visant à supprimer les subventions agricoles aux paysans afin de les recycler vers la création d’espaces verts pour emmener le pays vers une “neutralité carbone”, d’ici 2050 – pour “sauver le Climat”. Cette organisation a tenté, en 2019, de promouvoir un énorme projet de recyclage “naturel”, dans le Pays de Galles, qui aurait éliminé toutes les activités paysannes sur environ 38 400 hectares – mais les agriculteurs ne s’en sont pas laissés conter. [185]

Prenons l’exemple de la Nouvelle-Zélande. En Octobre 2019, le gouvernement de ce pays a donné cinq années aux agriculteurs pour réduire leurs émissions de dioxyde de carbone et de méthane afin d’atteindre le niveau carbone-zéro, sur le plan national, d’ici 2050. Le premier ministre de ce pays a comparé cette lutte “écologique”, à l’encontre du CO2, à la lutte des générations antérieures à l’encontre de l’énergie nucléaire. [32] Sans commentaires.

Une entreprise de pêche d’algues de Nouvelle-Zélande semble avoir trouvé une solution pour réduire l’inclination fondamentale des bovins à émettre des pets méthaniers. En effet, lorsque les bovins sont nourris avec une algue, Asparagosis taxiformis, leurs émissions méthanières sont réduites de 90 %. Cette algue, que l’on trouve au large de la Nouvelle-Zélande, de la Tasmanie et de l’Australie méridionale, doit composer au moins 2 % du régime alimentaire des bovins afin d’être méthanicide.

Le challenge, aujourd’hui, pour atteindre le niveau carbone-zéro, en Nouvelle-Zélande, est d’imaginer comment fournir de telles quantités d’algues en permanence, aux troupeaux de bovins sans épuiser les ressources marines… Les technocrates en charge de la Rédemption du Climat vont-ils, donc, concevoir de gigantesque fermes d’aquaculture d’Asparagosis taxiformis ? Et comment vont-ils, ensuite, nourrir ces algues méthanicides afin qu’elles prolifèrent ? Peut-être avec de la fake-viande cellulaire importée de Californie ? Ou avec des mycoprotéines à base de fusarium ?

Les agriculteurs de Nouvelle-Zélande refusant d’obtempérer se verront punis de lourdes amendes financières. En réaction à cette nouvelle politique gouvernementale, des éleveurs ont affirmé qu’il leur était difficile de planter des arbres (des “puits de carbone”) sur leurs prairies à vaches et que l’unique moyen de satisfaire les diktats gouvernementaux était de réduire la production agricole, du pays, de moitié. Rappelons que 55 % du boeuf exporté, de Nouvelle-Zélande, l’est vers la Chine – qui tente d’opérer, présentement, une razzia sur tout ce qui est protéine de viande sur la planète.

En Nouvelle-Zélande, il existe même un ministère du “changement climatique”. Son ministre s’est dit très interpellé par les dizaines de milliers d’enfants, et d’adolescents, en grève d’école, pour protester contre le Réchauffement Anthropique™, durant le printemps 2019. Ces grèves scolaires étaient fomentées par les ONGs climatiques, financées par le gang de Soros, ainsi que par l’activiste hystérique Greta Thunberg financée par le gang Al Gore/Clinton/Soros.

C’est ainsi que vers la mi-mai 2020, le gouvernement de ce pays a introduit un nouveau programme, dans toutes les écoles, afin d’encourager les enfants et les adolescents à cesser de consommer de la viande et des produits laitiers – au nom du “Changement Climatique”. Les produits agricoles de Nouvelle Zélande constituent 60 % de ses exportations annuelles. [230]

L’Agriculture cellulaire chimérique : le Grand Remplacement comme solution finale pour l’élimination de tous les présumés, et prétendus, virus pathogènes qui seraient colportés par les animaux d’élevage.

Ainsi que je l’ai mis en exergue dans mon essai intitulé “Vaccinations Anti-Méningite et Pathologies Respiratoires Imputées au Coronavirus ID/2019”, [137] selon le virologue Jeffery K. Taubenberger, toutes les pandémies grippales humaines récentes seraient issues de mutations de la “pandémie virale”, de type H1N1, de 1918-1920 : à savoir la souche de Grippe Asiatique H2N2 (1957-1958), la souche de la Grippe de Hong-Kong H3N2 (1968-1969), la fausse pandémie de Grippe Porcine H1N1 (2009-2010), etc, ad nauseam.

Jeffery K. Taubenberger a été financé par la Fondation Bill Gates et le DARPA (du Ministère de la Défense US) pour reconstruire, génomiquement, la souche du virus de la “Grippe Espagnole” – qui était une pneumonie bactérienne… Son étude est intitulée “Reconstruction of the 1918 Influenza Virus : Unexpected Rewards from the Past”. [221]

La grande supercherie de Jeffery K. Taubenberger constitue à prétendre, encore et toujours, que l’origine de la “Grippe Espagnole” se trouve dans une méchante souche de grippe aviaire qui, par malchance, a justement agressé des milliers de soldats, au Kansas, qui venaient, juste, de se porter volontaires pour être les cobayes d’une expérimentation vaccinale à l’encontre de la méningite bactérienne.

Ou était-ce alors une grippe aviaire qui aurait méchamment agressé un troupeau de porcs au préalable – car les souches de “grippes aviaires” ne sont pas réputées sauter sur les humains aussi facilement. C’est effectivement une fâcheuse coïncidence que la seule mutation, aux USA, de cette souche H1N1, se soit développée justement dans la région de Fort Riley, au Kansas, où étaient cantonnés des milliers de soldats fraichement vaccinés… et sur le départ vers l’Europe afin de participer à la Première Grande Boucherie Internationale (la Seconde Boucherie Franco-Allemande suivant la première de 1870/1871).

Faut-il vous l’envelopper ou est-ce pour lobotomiser de suite ? Ce n’est, sans doute, pas pour rien que le patronyme “Taubenberger” signifie le berger des pigeons…!

Selon cette histoire à dormir debout, cette souche H1N1 humaine fut ensuite transmise aux porcs, vers 1918, qui l’ont gardée, bien au chaud et très précieusement, pendant 90 ans, sous la forme d’une souche virale porcine différenciée – à savoir différenciée de la souche humaine H1N1 virale pandémique primitive de 1918.

Ce qui ressort de cette gigantesque arnaque pseudo-scientifique, [221] c’est que Jeffery K. Taubenberger, et son gang de collaborateurs eugénistes, ont pour objectif final, et exclusif, de développer une vaccination anti-grippale universelle, donc anti-virale, qui serait valable pour toutes les souches de grippes passées, présentes et à venir.

Et ces souches seraient nombreuses si l’on en croit les alertes permanentes concernant les élevages industriels de par le monde. Ainsi, en début février 2020, la Chine sonnait l’alarme car elle venait d’abattre 17 828 volailles atteintes de la souche grippale H5N1 – en précisant néanmoins qu’aucun cas humain de contagion, par ce virus de grippe aviaire, n’avait été rapporté aux Autorités.

Selon les contes de fée, pour adultes infantilisés, de l’Organisation pour le Massacre Sanitaire, la grippe aviaire A, de souche H5N1, aurait exterminé 6 personnes de Hong Kong, en 1997, et 134 autres personnes, dans l’Asie du sud-est (Chine, Cambodge, Vietnam et Laos) entre 2003 et 2014. Globalement, cette souche H5N1 aurait, également, exterminé 455 personnes entre 2003 et 2020. Quant à la souche de grippe aviaire H5N6, elle aurait occasionné 7 décès en Chine, depuis 2014. Quant à la souche de grippe aviaire H7N4, un seul cas aurait été mentionné en Chine, en février 2018. La souche H7N9 fut beaucoup plus efficace puisqu’elle suscita 1568 “cas confirmés en laboratoires” – selon la formule consacrée par les virologues. En ce qui concerne la souche H9N2, seulement 31 “cas confirmés en laboratoires” ont été rapportés en Chine depuis 2015. [223]

En bref, ce ne furent que des débuts de pandémie avortée… Les grippes aviaires ne sont, en effet, que difficilement transmissibles aux animaux humains et il faudrait que l’Evolution aveugle et aléatoire, sous mode Néo-Darwiniste, déploie encore quelques efforts, aveugles et aléatoires, pour que l’OMS, et la Mafia Pharmacratique, puissent en tirer des fortunes vaccinales.

Si tant est, d’ailleurs, que ces grippes aviaires aient, authentiquement, une existence dans le Réel de la Biosphère Gaïenne – à savoir, une existence prouvable en dehors des laboratoires des virologues qui sont enclins à prendre leurs hallucinations microscopiques pour des réalités virales.

D’ailleurs, comme les Globalistes et les Banksters n’arrivaient pas à susciter de fausses pandémies à partir des virus grippaux fantomatiques… ils nous ont sorti, de leur chapeau de prestidigitation médiatique, un virus à couronne, le CoqueVide/19, dont la mission est de ruiner l’Humanité, de l’incarcérer et de la vacciner. Qu’allez-vous faire ?

Au Chili, en 2016, certains élevages de dindons furent attaqués par une souche de grippe aviaire H7N6. [222] En Hollande, en décembre 2017, 16 000 canards furent euthanasiés suite à un accès de grippe aviaire H5N6. En décembre 2019, c’est la souche H5N3 qui sema la panique dans le Suffolk et 28 000 volailles furent euthanasiées.

En France, la souche H5N1 avait fait des ravages dans les élevages de volailles durant l’hiver 2015-2016 tandis que la souche H5N8 avait décimé les élevages français, durant l’hiver 2016-2017 – semant le chaos dans la filière du foie gras. En début 2020, les éleveurs Français recommençaient à paniquer car la souche H5N8 sévissait, depuis plusieurs mois déjà, en Slovaquie, en Hongrie, en Roumanie, en Pologne, en Roumanie, en Ukraine, au Danemark, en Allemagne, etc. [224]

En janvier 2020, 40 000 dindons et oies furent exterminés par la souche H5N8 dans des villages Polonais à la frontière de l’Ukraine et du Bélarus. Durant la même période, à l’ouest du pays, 65 000 volailles furent exterminées pour cause de la même souche. 

A cette date, les Autorités Européennes se montraient rassurantes en précisant bien que la transmission des virus aviaires vers les humains est rare mais, cependant, possible… et que toute personne souffrant de difficultés respiratoires est invitée à visiter son médecin habituel, bla bla bla.

Aux USA, en 2015, la souche de grippe aviaire H5N2 avait annihilé une cinquantaine de millions de poules et de dindons dans les élevages du MidWest. En 2017, dans le Tennessee, la souche de grippe aviaire H7N9 avait décimé un élevage de 73 500 volailles. En avril 2020, le Ministère de l’Agriculture US confirma que la souche de grippe aviaire H7N3 sévissait dans un élevage de dindons en Caroline du sud : 1583 dindons avaient déjà succombé et les 32 577 autres furent euthanasiés. [225]

Selon les canons de l’Eglise de la Virologie Pathogénique, il existerait quatre types de virus grippaux A, B, C et D. Les grippes du groupe A (aviaires, porcines et autres zoonotiques) se définiraient en fonction de la combinaison des protéines de surface dont il existerait deux types : l’Hémagglutinine (H) et la Neuraminidase (N). De plus, il existerait, selon cette Eglise, 18 sous-types d’hémagglutinine – H1 à H18 – et 11 sous-types de neuraminidase – N1 à N11.

Je me souviens d’un tableau très illuminant que je découvris, il y a un quart de siècle, et ce fut peut-être dans l’ouvrage fort passionnant de l’agronome Canadien dissident, Raoul Robinson, “Return to Resistance”, publié en 1995, qui évoquait la problématique des résistances horizontales, ou polygéniques, et des résistances verticales, ou monogéniques. Ce tableau mettait en exergue deux courbes exponentielles et strictement parallèles. La première courbe déclinait l’usage exponentiel des produits de synthèse de l’agriculture toxique : fertilisants synthétiques, pesticides, fongicides, herbicides, raticides et toute la gamme des biocides – depuis un demi-siècle. La seconde courbe déclinait l’émergence exponentielle de nouvelles pathologies impactant le monde végétal agricole – depuis le même demi-siècle. Ce tableau mettait, ainsi, en lumière que l’émergence de multiples nouvelles pathologies végétales était induite par la mise, sur le marché, de multiples nouvelles combinaisons de molécules toxiques pour l’agriculture – dont la mission était d’éradiquer les dites “pathologies végétales”.

Lorsque l’on prend conscience que le monde animal domestique est la proie (prétendument) d’une pléthore de sous-types de grippes A aviaires, bovines, humaines et porcines – de type HxNx – il est relativement aisé d’imaginer que ce présumé harcèlement viral pourrait être la conséquence, pure et simple, de dizaines d’années, au moins, de campagnes de vaccinations intensives et de médications allopathiques dénommées antibiotiques, antivirales… Pour le grand plaisir de la Mafia Pharmacratique. Car de combien de vaccins un porc d’élevage est-il gratifié durant les six mois de son engraissement pour en arriver à 140 kilos ? Se rappelle-t-on l’étude publiée dans la Revue Nature, publiée en 2013, intitulée “Flu vaccine backfires in pigs” ? Elle mettait en exergue, par exemple, que le vaccin prétendument destiné à immuniser contre la souche de grippe A H1N2 rendait les porcs très susceptibles à la souche de grippe A H1N1. [229]

Si l’on se réfère aux fondamentaux de la Nouvelle Médecine Allemande – de Ryke Hamer et de Stephan Lanka – les virus pathogènes n’existent pas. Ils n’ont jamais été isolés ni photographiés. Ils n’ont jamais évolué n’en déplaise aux hallucinés, et autres eugénistes, de la Secte Néo-Darwiniste. Circulez… il n’y a rien à voir. Au fait, dans la Nature non domestiquée, existe-t-il des pandémies qui déciment, inexorablement, des hordes de sangliers ou d’oiseaux aquatiques ? Comment l’Eglise de la Virologie Pathogénique peut-elle expliquer la non existence de pandémies chez les animaux sauvages prétendument porteurs naturels de toutes les souches de grippes qui sont accusées de semer la misère dans les élevages industriels (non-bios) modernes ?

Kary Mullis, l’inventeur même de la Réaction en Chaine par Polymérase (PCR) – qui constitue la base des “tests” bidons permettant de déterminer si un individu est “positif” ou “négatif” eu égard à un coronavirus fantôme – ne croyait pas, non plus, à l’existence du virus du VIH/Sida. Kary Mullis avait toujours affirmé, d’ailleurs, que la Réaction en Chaine par Polymérase ne doit, surtout, pas être utilisée pour des diagnostics médicaux. Les passionnés de vérité sont invités à étudier l’excellent article  “Was the COVID-19 test meant to detect a virus ?” de Celia Farber. [228]

Kary Mullis (1944-2019) n’avait pas sa langue dans la poche car il considérait Anthony Fauci (le Tsar du Coronavirus des USA) et Robert Gallo (le prétendu co-découvreur du Sida) comme des “ass-holes”. C’est une expression que je n’utilise jamais car j’estime que la noblesse intrinsèque (car Gaïenne) du “trou du cul” ne sied pas, du tout, à la qualification de misérables crapules criminelles et psychopathiques. Kary Mullis (1944-2019) s’est désincarné trop tôt car il se serait déchaîné à l’encontre de tous les voyous qui ont orchestré cette terrifiante “psyops” – cette opération psychologique spéciale dont l’objectif est de terroriser tous les Peuples de la Planète.

Pour en revenir aux déclarations pompeuses, aux professions de foi, et aux prétentions des promoteurs de l’agriculture cellulaire, le grand avantage de se débarrasser de l’intégralité des animaux d’élevage, sur la planète, serait, selon eux, d’éliminer, tout d’abord, l’immense réservoir de porteurs animaux de (prétendus) virus pathogènes – pour une meilleure santé humaine – et d’éliminer, ainsi, le recours aux médications allopathiques, antibiotiques, antiviraux et autres vaccinations qui constituent le lot quotidien de l’élevage industriel (non bio). Par opposition, leurs produits cellulaires stériles (viande, lait, oeufs…) seraient, totalement, exempts de ces produits toxiques – pour une meilleure santé humaine – selon leur publicités, bien entendu…

N’est ce pas “touchant” ?… si l’on peut, encore, se permettre cette expression familière en pleine période de “distanciation sociale” exacerbée et hautement anti-constitutionnelle. On se demande bien, d’ailleurs, à quoi servent toutes ces “constitutions” car il semblerait que d’aucuns, en position de contrôle dictatorial, s’en torchent, allègrement, le barbecul !

Cependant, à bas les Masques !! Tout cela n’est que de la propagande mensongère visant à enfariner les burgers cellulaires d’une aura de respectabilité écologique, et sanitaire, alors même que les antibiotiques, ainsi que les antimitotiques, sont libéralement utilisés dans les soupes cellulaires des nécro-réacteurs à fake viande.

En effet, selon l’étude récente, publiée en 2018, et intitulée “Bringing cultured meat to market : Technical, socio-political, and regulatory challenges in cellular agriculture”, ces substances toxiques – à savoir, les antibiotiques et les antimitotiques – sont introduites, dans les cuves de l’agriculture cellulaire, pour lutter contre les “infections”. [50] Par exemple, la gentamicine, la pénicilline et la streptomycine intégrées avec la glutamine commercialisée par la multinationale Pharmacratique Merck.

De quelles “infections” s’agit-il, donc ? D’infections cellulaires ?  Les cultures cellulaires, confinées en cuves, peuvent-elles développer des pathologies d’ordre somatique ? A savoir des pathologies induites par une contamination émanant de bactéries, de champignons, de parasites – ou encore de virus fantômes et invisibles… qui sont, sans nul doute, les plus dangereux… car comme le disait l’élu des Banksters : «nous sommes en guerre contre un virus invisible».

Les cultures cellulaires, confinées en cuves, pourraient-elles, même, développer des pathologies d’ordre psychique ? Si l’on se réfère à tous les travaux réalisés sur la “mémoire cellulaire”, se pourrait-il que des cellules confinées dans une prison de cuve métallique – et coupées de toute vie organique – puissent souffrir de neurasthénie, de schizophrénie, d’angoisses existentielles, d’inclinations à la désincarnation sur mode Hara Kiri…? N’est-il pas cruel, sur le plan de la bio-éthique, d’exclure des cellules de leur contexte biologique incarné afin de les faire croître, et multiplier, alors qu’elles sont mutilées de toute fonction authentiquement organique ? Que font, donc, les associations auto-qualifiées d’anti-spécistes ?

Comment, ainsi, éviter qu’elles ne contractent le Blues de la Cellule Confinée ? Les bio-éthiciens de la viande cellulaire vont-ils devoir recourir à des musiques douces afin d’apaiser les affres existentielles des cellules en cuves d’isolement organique ? En bref, les cellules confinées, dans une prison de cuve métallique, peuvent-elles souffrir du syndrome de “distanciation sociale” tout comme les êtres humains ? A savoir, tout comme les êtres humains dignes de ce qualificatif, c’est à dire non lobotomisés et capables, encore, d’exprimer des émotions, des passions, des rages – et surtout d’exprimer une haine incommensurable envers tous les criminels qui les persécutent et les martyrisent… depuis des siècles et, même, quelques millénaires. Suivez mon regard.

D’ailleurs, pour en revenir au thème des virus (psychotiques) à éliminer – très visibles, surtout sans microscope – Greta Thunberg, la nouvelle Jeanne d’ARC des Réchauffistes –  l’Apôtre du Réchauffement Climatique – a été invitée, récemment, par CNN, à rejoindre “un comité d’experts scientifiques” pour un programme dénommé “Coronavirus, faits et craintes”. [188] Greta Thunberg, déguisée en coronavirologiste, a affirmé, récemment, que «Tout comme la crise climatique, la pandémie coronavirale constitue une crise des droits de l’enfant». Greta Thunberg a imploré, le monde entier, à prêter l’oreille (à taux zéro, au vu de la crise financière) aux déclarations des experts climatiques tout comme à celles des experts coronavirologues.

Je me suis, déjà, amplement exprimé sur le syndrome de la “Fournaise de Thunberg” dans mes essais intitulés “Lorsque Greta, le Gratin des Pantins Climatiques, Surfe sur le Sacrifice des Enfants…” [226] et “Greta Thunberg en Croisade de Gogos Climatiques avec la COP25, et le Saint GIAC, à Saint Jacques de Compostelle”. [227]

Greta Thunberg, elle-même, d’ailleurs, représente le symbole incarné d’une “crise des droits de l’enfant” telle qu’elle est consumée  – de colère et de haine climatiques eu égard à une fournaise inexistante – et telle qu’elle est consommée sur l’autel des criminels globalistes et des banksters qui l’agitent à la ficelle.

Une “crise des droits de l’enfant” : elle ne saurait mieux dire car cette pandémie coronavirale, strictement inexistante et orchestrée de toutes pièces, va bâillonner les enfants, les empêcher de jouer, les empêcher de se toucher, les empêcher d’embrasser leurs parents, les empêcher d’être câlinés par leurs grands-parents, les empêcher de lire des ouvrages provenant de la bibliothèque municipale (car coronavirosés) et les coller devant des écrans d’ordinateurs scolaires  –  tout cela au nom de la distanciation sociale…

… et les inviter, même, à dénoncer leurs parents, ou les membres de leur famille, n’adhérant pas à la nouvelle religion coronavirale et émettant, selon le Ministère de l’Educastration et de la Vérité, des “propos inacceptables” – par exemple ceux “manifestant le refus des gestes barrières” ou encore “relayant des théories complotistes”.

A propos, avez-vous vu la fiche du Ministère de l’Educastration intitulée “Réouverture Covid-19 et risques de dérives sectaires”, qui invite les enseignants à piéger les enfants “par des questions adaptées”. En voilà une partie du contenu : «L’enfant étant dépendant de son environnement, une attention doit donc être portée aux élèves dont les responsables légaux, adeptes de certaines idéologies ou croyances, sont réticents ou opposés aux recommandations faites en matière de santé publique : contournement du confinement pour des rassemblements, refus de traitements, d’examens médicaux ou de tests sanguins, etc.» [186]  [187]

Faut-il vous l’envelopper soigneusement – avec un ruban tricolore de type CocoriCovid – ou est-ce pour lobotomiser, bâillonner, tester et vacciner de suite ?

What the Fake is going on ?

L’Agriculture cellulaire chimérique : les acteurs simulateurs.

Les entreprises promouvant l’agriculture/élevage et l’aquaculture cellulaires chimériques se comptent, aujourd’hui, par dizaines de par le monde. En effet, ces technologies ont été développées, depuis une vingtaine d’années, par quelques pays pionniers : la Hollande, les USA et, bien évidemment, l’incontournable Israël. Le premier test d’amplitude industrielle a été réalisé, dès 2005, par le Professeur Mark Post, de l’Université de  Maastricht, en Hollande, à l’aide d’un financement de Sergey Brin, le co-fondateur de Google. Le premier hamburger de laboratoire a été, ainsi, cuit et dégusté lors d’une conférence de presse à Londres en 2013.

Son coût de production fut de 325 000 dollars. Deux années, plus tard, le coût n’était plus que de 11 dollars. [36]

En France. Gourmey produit du foie gras cellulaire à partir de cellules-souches de canard. [21]

N’est-il, donc, pas tentant de se gaver de foie gras cellulaire et chimérique afin d’éviter aux canards de se faire massacrer gavés ? En effet, leur profession de foi – et de foie gras chimérique – se décline comme telle :  «Gourmey développe un foie gras sans gavage ni abattage, délicieux et 100% éthique, à partir de cellules naturelles de canard. Un foie gras sans compromis, meilleur pour vous, pour les animaux et pour la planète.»

Aux USA. Memphis Meats produit de la viande cellulaire de boeuf, de canard et de poulet. Lorsqu’elle introduisit, en 2017, sa première viande de poulet sans poulet, le prix au kilo était d’environ 20 000 dollars.

Memphis Meats a levé 17 millions de dollars en 2017 et 160 millions de dollars en 2020. Qui sont les investisseurs ? Bill Gates l’eugéniste vaccinaliste, [30] Richard Branson (de Virgin), Kimbal Musk (le frère d’Elon Musk de Tesla), la multinationale Cargill et la multinationale Tyson Foods.

L’entreprise Just Eggs, ou JUST (anciennement Hampton Creek Foods), ainsi que l’entreprise Clara Foods, produisent des oeufs cellulaires. Mission Barns produit également de la viande cellulaire. New Age Meats produit du porc cellulaire. 

Nos amis chiens et chats ne sont pas oubliés… car l’entreprise Wild Earth produit de la viande de souris cellulaire pour leur nourriture quotidienne. 

Quant à “l’aquaculture cellulaire”, ce sont les entreprises Wild Type et Finless Food qui produisent du poisson cellulaire à partir, respectivement, du saumon et de l’espèce Thunnus thynnus, le thon rouge du nord De même que Blue Nalu avec l’espèce Seriola lalandi, la sériole chicard. 

La mission proclamée de Finless Foods est ainsi libellée :  « Fournir des produits de la mer délicieux et soutenables sans avoir à élever ou à pêcher du poisson vivant dans nos précieux océans». N’est-ce pas touchant ?

Aux USA encore. Amyris élabore des produits cellulaires divers : cannabinoïdes, arômes et édulcorants. Arzeda produit des édulcorants et des protéines cellulaires. Bond Pet Foods produit de la protéine de volaille cellulaire. C16 Biosciences produit de l’huile de palme cellulaire. Codexis produit des édulcorants cellulaires. DMC Biotechnologies produit des arômes cellulaires. Geltor produit de la gélatine cellulaire. Ginkgo Bioworks produit des arômes, des protéines et des oligosaccharides de lait humain cellulaires. Glycosyn produit des oligosaccharides de lait humain cellulaires. Impossible Foods produit de la léghémoglobine de soja. Ingredion produit des arômes et des protéines cellulaires. Manus Biosynthesis produit des arômes, des ingrédients alimentaires et des vitamines cellulaires. Motif FoodWorks produit des protéines cellulaires. New Culture produit des protéines de lait cellulaires. Perfect Day produit des protéines lactées cellulaires. Sustainable Bioproducts produit des microorganismes cellulaires. Triton Algae Innovations produit des algues cellulaires. Wild Earth produit du koji (moût d’amorçage) cellulaire. Morden Meadow produit du cuir cellulaire.

En Hollande. Isobionics produit des substances cellulaires pour les arômes alimentaires. Avansya (Cargill et Royal DSM) produit des glycosides cellulaires de steviol commercialisés sous la marque EverSweet. BioscienZ produit des oeufs cellulaires. Mosa Meat, créée en 2015 par Mark Post et Peter Verstrate, a annoncé la première viande au monde libre de “massacre”. Meatable s’est orienté, en 2019, vers la viande cellulaire de porc à cause de la “grippe” porcine qui sévit partout sur la planète. 

Meatable affirme détester l’élevage industriel nocif pour la planète et cruel pour les animaux. Leur logo se décline comme suit «Le Nouveau Naturel. Nous souhaitons satisfaire le désir de viande, dans le monde, sans nuire aux humains, aux animaux et à la planète». N’est-ce pas émouvant ?

En Israël. Future Meat Technologies a pour objectif d’introduire, en 2021, un produit alimentaire hybride confectionné à partir de protéine végétale mélangée à de la viande cellulaire. Cette entreprise est impliquée dans la viande cellulaire de volaille. Aleph Farms a déjà produit de la viande cellulaire – du steak – dans la section Russe de la Station Spatiale Internationale, en partenariat avec Finless Foods (USA), Vivax Bio (USA) et 3D Bioprinting Solutions (Russie). Super Meat est impliquée, également, dans la viande cellulaire de volaille. BioFood Systems produit de la viande cellulaire de boeuf. Quant à MeaTech, elle vient de fusionner avec Ophectra Real Estate and Investments Ltd. Son fondateur, Sharon Fima, est un expert en impression 3D et MeaTech est impliquée dans le développement d’une technologie d’impression de cellule-souche en 3D.

Au Canada. Appleton Farms produit de la viande cellulaire de boeuf. Future Fields produit de la viande cellulaire de volaille. SeaFuture produit du poisson cellulaire. Hyasynth Bio produit des cannabinoïdes cellulaires. 

A ce jour, Hyasynth Bio a levé [38] près de 12 millions de dollars (des investisseurs Groupe Roski, OrganiGram, RebelBio, Anges Québec…)  pour accroître sa capacité de production de cannabinoïdes à base de levures chimériques. Chez Hyasynth Bio, la chimérisation de cannabinoïdes est dénommée “ingénierie métabolique”.

Au Japon. Nissin Foods Group et IntegriCulture produisent de la viande cellulaire. Spiber produit de la soie d’araignée cellulaire.

A Singapour. Shiok Meats élabore des produits de la mer cellulaires. Turtle Tree Labs utilise des cellules souches pour produire des glandes mammaires pour la production de lait.

Turtle Tree Labs se vante d’avoir recours à une technologie chimérique tissulaire, à base de cellules souches, pour produire du lait humain et du lait de vache – ou du moins un simulacre de lait plus proche du réel qu’une molécule protéique lactée produite par fermentation cellulaire – ainsi que le pratiquent certains de ses compétiteurs.

En Espagne. BioTech Foods produit de la viande cellulaire de porc. Cubiq Foods produit du gras animal cellulaire. Cubiq Foods a été racheté par Moira Capital Partners, une société financière basée à Madrid.

En Allemagne. Legendary élabore des produits laitiers à partir de fermentation cellulaire et de microorganismes chimériques.

En Australie. Heuros élabore des produits cellulaires. VOW produit de la viande cellulaire de kangourou.

En Chine. Avant Meats produit de la viande cellulaire.

Au Royaume-Uni. Higher Steaks produit de la viande cellulaire de boeuf.

En Belgique. Peace of Meat produit du foie gras cellulaire et de la viande cellulaire de volaille.

En Russie. Ochakov Food Ingredients produit de la viande cellulaire de boeuf.

En Argentine. Craveri Laboratories produit de la viande cellulaire de boeuf.

En Turquie. Bifstek produit de la viande cellulaire de boeuf.En Inde. Clear Meat produit de la viande cellulaire de volaille.

En Suisse. Evolva produit des arômes et des édulcorants cellulaires. 

L’Agriculture cellulaire chimérique : les investisseurs.

Ce sont les géants et les multinationales de l’agro-alimentaire – mais aussi de la Pharmacratie – qui sont les premiers investisseurs et distributeurs de l’agriculture cellulaire chimérique et simulatrice. A savoir, Cargill, Smithfield Foods, Tyson Foods, Hormel, Kellog’s, Kroger, Burger King, KFC, Dunkin’, Merck… En effet, dès la prochaine décennie, la fausse viande est supposée constituer 10 % du marché mondial de la viande qui est présentement évalué à 1400 milliards de dollars.

Un rapport, publié par le consultant AT Kearney, affirme que, selon des “experts”, 25 % de la “viande” consommée sera de la viande cellulaire et 35 % de la “viande” consommée sera de la viande confectionnée à base de plantes – ou plus exactement d’extraits de plantes – en 2040. [35]

Durant l’été 2019, afin de confectionner ses whoppers avec de la fausse viande, Burger King s’est allié avec Impossible Foods [22] qui venait de lever 387 millions de dollars d’investissements. En mars 2019, Impossible Foods a annoncé que son usine d’Oakland en Californie était achevée et prête à produire, mensuellement, environ 500 tonnes de “meatless meat” – de viande sans viande. Fin avril 2020, Impossible Foods a annoncé que la compagnie est prête à distribuer sa fake viande dans 777 supermarchés aux USA, en particulier en Californie, au Nevada et sur la côte est – après avoir levé, de nouveau, 500 millions de dollars au mois de mars 2020. [80] Ses deux nouveaux produits sont dénommés “Impossible Pork” et “Impossible Sausage”.

Au rang des investisseurs d’Impossible Foods se trouvent, bien évidemment, l’eugéniste Bill Gates ainsi que Li Ka-shing (la troisième fortune d’Asie), l’Open Philanthropy Project (le fonds de financement de Dustin Moskovitz, le co-fondateur de Fakebook), Temasek (un fond d’investissement de l’Etat de Singapour) et Vinod Khosla (le co-fondateur de Sun Microsystems). C’est, d’ailleurs, l’Open Philanthropy Project qui finance, en France, l’organisation vertueuse et “anti-spéciste™” dénommée L214.

L’un des concurrents d’Impossible Foods, dans la course à la fake-viande est Beyond Meats qui produit des substituts de viande à base de plantes: burgers, saucisses, etc. La fake-viande de Beyond Meats est commercialisée par Kroger, par les supermarchés Safeway et par les supermarchés (à moitié bios) de Whole Food – une chaine alimentaire rachetée par l’Amazon de Jeff Bezos. La fake-viande de Beyond Meats est produite à partir de protéines (de pois, de fève, d’haricot mung et de riz), de féculents (de pomme de terre et de méthylcellulose), de lipides (noix de coco, tournesol, cacao et colza), d’arômes et de colorants (jus de betterave, jus de pomme, arômes “naturels”) et de minéraux (calcium, fer, sel, chlorure de potassium). 

Au rang des substances archi suspectes, faut-il rappeler que la méthylcellulose, E 461, est un émulsifiant d’origine souvent inconnue. L’une de ses origines serait du coton transformé par radical alkyle hydrophobe dérivé du méthane (CH4), pouvant provoquer des diarrhées importantes chez les enfants, même à faible dose. [23] Selon une autre répertoriation : «La méthylcellulose est un éther méthylique partiel de cellulose, obtenu par traitement de fibres végétales avec un alcali et du chlorure de méthyle. L’utilisation de méthanol et/ou d’oxyde de propylène n’est pas exclue». [24]

Au rang des investisseurs de Beyond Meats se trouve l’eugéniste Bill Gates et Biz Stone, le co-fondateur de Twitter; il s’y trouvait, encore récemment, Tyson Foods, à hauteur de 7 %.

Au rang des détracteurs de Beyond Meats, et de tout le secteur de la fake-viande, John Mackey, le directeur et co-fondateur de Whole Foods, s’est exprimé très franchement, durant l’été 2019, sur le fait que ces fausses viandes sont peut-être bénéfiques à la santé de la planète… mais sûrement pas bénéfiques pour la santé humaine – en raison de leurs processus de fabrication hautement et archi-industriels. [293]

L’un des concurrents de Burger King, à savoir KFC, Kentucky Fried Chicken, a annoncé, en janvier 2020, qu’il proposait, dans ses 900 restaurants du Royaume Uni, un nouveau sandwich végétarien dénommé “Zéro Chicken”. Ce sandwich est produit par l’entreprise Quorn qui a été complètement dépassée, durant l’hiver 2020, par le succès de sa fausse viande – malgré que sa nouvelle unité de production libère, chaque semaine, 1 300 000 paquets de viande végan. Le “Zéro Chicken” est à 2/3 composé de mycoprotéines en sus de blancs d’œufs réhydratés, de protéines de lait, de fécule de tapioca, etc.

Aux USA, le géant Tyson Foods s’est, récemment, investi financièrement dans des entreprises d’agriculture cellulaire telles que New Wave, qui élabore des crevettes à base de soja, d’algues, et d’arômes “naturels” et MycoTechnology, qui élabore des protéines à partir de champignons. Tyson Foods est la plus grande entreprise de production de viande aux USA et la seconde au monde après le Brésilien JBS. En 2020, Tyson Foods vient d’abandonner son image de premier géant US de la viande – qui produit 20 % du boeuf, de la volaille et du porc aux USA –  et se définit maintenant comme “The Protein Company”. Elle a également investi financièrement dans les entreprises de viande cellulaire Memphis Meats, aux USA, et Future Meat Technologies, en Israël. [29]

Quant à Mosa Meat, l’un de ses partenaires est M Ventures, une filiale de la multinationale de la Pharmacratie, Merck – très impliquée dans le massacre sanitaire universel. Un autre de ses partenaires est le Bell Food Group, le plus gros transformateur de viande en Suisse.

En 2018, le fonds d’investissement, New Crop Capital, lança un programme de 100 millions de dollars dénommé le “New Protein Fund” et son fondateur Chris Kerr déclara «Nous allons devenir riches, de n’importe quelle manière». Les investisseurs de New Crop Capital ont préféré rester anonymes. En date de décembre 2018, le “New Protein Fund” avait déjà soutenu financièrement 33 compagnies impliquées dans la quête de protéines simulatrices. 

L’Agriculture cellulaire chimérique : une incubation agressive orchestrée par Bill Gates et autres organisations eugénistes et transhumanistes.

L’organisation New Harvest se présente comme un institut de recherche dont l’objectif déclaré est «de réinventer la manière dont on élabore des produits animaux –  sans animaux». [18] New Harvest, depuis 2008, finance des projets dont l’objectif est, ainsi, de cellulariser l’agriculture. L’un de leurs projets financés, par exemple, concerne la décellularisation de feuilles d’épinards afin de les utiliser comme échafaudage en 2D pour des cellules mammaliennes… avec pour objectif l’ingénierie d’un échafaudage vascularisé et comestible permettant de maintenir la viabilité cellulaire dans des environnements de culture en 3D. En bref, la vascularisation naturelle des feuilles d’épinards décellularisées offrirait des échafaudages bénéfiques à des applications d’ingénierie de viandes cellulaires. 

En plus bref, encore – pour les lecteurs stupéfiés par le caractère très peu bucolique de l’agriculture cellulaire – la fabrication de fake-viande cellulaire nécessite de dé/cellulariser d’autres substances, telles que des feuilles épinards, afin d’en créer des échafaudages pour sa culture en 3D. Tout va bien ?

Un autre projet financé par New Harvest est de développer un système de culture en 3D pour la “biofabrication” cellulaire de tissus d’insectes à visée alimentaire. Le laboratoire – impliqué dans cette recherche à l’Université Tufts de Boston – utilise trois types de cellules : une lignée cellulaire (immortalisée génétiquement), précurseur de muscles, provenant de la mouche du vinaigre, Drosophila melanogaster, et exprimant une protéine fluorescente verte ; des cellules primaires extraites du Sphinx du tabac, Manduca sexta ; des cellules primaires extraites du grillon domestique, Acheta domesticus. 

Quant aux “bio/matériaux” utilisés pour la “bio/fabrication” de ces tissus cellulaires d’insectes, ce sont le chitosan extrait de champignons, de la cellulose, de la protéine de soie… Tout va bien ?

Les fausses viandes cellulaires des adeptes du véganisme, c’est un peu comme le CoqueVide/19… cela frise l’hallucination religieuse.

Le Good Food Institute est une organisation employant des dizaines de scientifiques, médiatiques, et autres lunatiques, dont la mission est de développer les viandes cellulaires et les nouvelles protéines. Cet institut publie une pléthore de rapports sur la production de viande, de poisson, de lait, d’oeufs à bases de plantes ou à base de cellules tissulaires et/ou cellules fermentées. [28] Tout autant que des rapports sur le développement, sur les investisseurs, etc, au sein de ce secteur. [33]  [34].

Certains “experts” auto-proclamés et auto-prophétiques – tels que ceux du Good Food Institute – annoncent un marché de 370 milliards de dollars, dès 2035, en ce qui concerne les fausses viandes, à savoir les viandes végétales et les viandes cellulaires.

L’Institute for the Future [26] a publié, en 2018, un rapport, commissionné par l’eugéniste Bill Gates, intitulé, “Good Food Is Good Business”, dont l’objectif est de «prévoir les forces futures qui vont impulser des opportunités commerciales, pour le secteur privé, afin de créer des aliments plus nutritifs, accessibles, attirants et abordables pour les consommateurs aux faibles revenus durant la prochaine décennie». [27] Ce rapport explore cinq secteurs d’innovations technologiques qui puissent oeuvrer en synergie : l’agriculture cellulaire, la collaboration avec l’intelligence artificielle, la sagesse traditionnelle, la gestion des microbiotes et les actifs programmables. 

L’Institute for the Future compte parmi ses partenaires transhumanistes – sous guise d’humanitaires et de philanthropes : la Fondation Bill Gates, Microsoft, Nestlé, BASF, British Petroleum, Mitsubishi, Merck… sans oublier Accenture, l’un des membres-clés de l’organisation vaccinaliste universelle de Bill Gates, l’Alliance ID/2020.

La collaboration avec l’intelligence artificielle est ainsi déclinée : «Vers des produits améliorés et une meilleure éducation des consommateurs. L’intelligence artificielle va offrir des nouveaux outils pour aider les entreprises locales et les multinationales à approfondir leur compréhension des aspirations et des besoins des consommateurs. La persuasion algorithmique va également conduire les consommateurs des marchés à bas revenus (et de tous les marchés) vers des habitudes de consommation moins onéreuses et plus saines».

Ce n’est, sûrement, pas une coïncidence si un certain nombre d’acteurs de l’agriculture cellulaire sont impliqués dans la création “d’arômes cellulaires” – à savoir des arômes “naturels” qui croissent en cuves de confinement. Comme les viandes cellulaires n’ont strictement aucune saveur spécifique, les chiméristes vont les agrémenter de multiples arômes cellulaires en fonction des traditions culinaires de telle ou telle communauté humaine.

C’est pourquoi Jason Cohen, le fondateur de la société Analytical Flavor Systems, vient, très récemment, de proposer son “Gastrographe” [204] qui est une plate-forme d’Intelligence Artificielle “Sensorielle” (tous aux abris !!) dont la mission est de prédire les préférences alimentaires des consommateurs dans n’importe quelle partie du monde. Jason Cohen surfe sur le besoin des entreprises alimentaires de «s’impliquer dans des nouvelles technologies afin de s’adapter aux changements de ressources et de capacités induites par le besoin de distanciation sociale». Jason Cohen doit être un admirateur forcené de Bill Gates, et de son gang d’eugénistes, car il semble supputer que la “distanciation sociale” soit, dorénavant, un acquis établi pour toujours… à savoir, une nouvelle acquisition, au palmarès des génocideurs, sur le marché très lucratif des technologies de mise en esclavagisme des Peuples.

La sagesse traditionnelle est ainsi déclinée : «Vers la réincorporation d’ingrédients sains et de pratiques saines ancestrales. Des milliers d’années d’intuition humaine quant aux rôles et bénéfices des ingrédients alimentaires et des techniques de préparations alimentaires seront amplifiés et réintégrés dans de nouveaux produits alimentaires. Cette connaissance traditionnelle sera ouverte, accessible et actionnable par tout consommateur ou producteur, partout dans le monde.

Tout le reste est à l’avenant. Il s’agit, fondamentalement, de faire appel à la biologie synthétique, donc chimérique, pour recréer des produits agricoles, sur le plan cellulaire, qui seraient meilleurs pour la santé humaine, qui éviteraient les impacts environnementaux négatifs de l’agriculture animale, qui réintégreraient les connaissances et pratiques ancestrales et traditionnelles… bla bla bla

et, surtout, qui guideraient les consommateurs, par le biais de “persuasions algorithmiques”, vers ce que Bill Gates a décidé de mieux pour eux !!!

D’ailleurs, en janvier 2020, la Fondation Bill Gates a annoncé la création d’un énième institut dénommé Bill & Melinda Gates Agricultural Innovations, ou Gates Ag One, dont la mission sera d’aider des milliards de paysans pauvres, de par le monde, a adopter les techniques, semences et produits de l’agriculture productiviste chimique et chimérique.

Est-il, donc, étonnant que, de par le monde, les manifestations anti-confinement scandent, de plus en plus fréquemment, des slogans et des chants invitant les Autorités à mettre Bill Gates en prison ? [193] N’est-il pas plus que temps de dénoncer ce scandale planétaire et universel : le “GatesGate” ?

En Italie, la députée Sara Cunial a récemment demandé au Parlement Italien d’inculper Bill Gates pour crimes contre l’humanité afin de procéder à son arrestation… en invoquant le Code de Nuremberg. [231]  [286]

L’Agriculture cellulaire chimérique : une communication médiatique toute en simulations.

Sur le plan de la communication, les firmes d’investissements, les instituts de propagande, les start-ups et les géants de l’agro-alimentaire rivalisent d’imagination pour qualifier, dénommer leurs sociétés ou leurs produits au sein de ce nouveau secteur de la fake-viande, du fake-lait, des fake-oeufs, etc. C’est, ainsi, la perversion du language qui permet de vendre de la fake nutrition tant au niveau de la nature des substances commercialisées que de leurs appellations commerciales ou encore des dénominations dont s’affublent les entreprises de production ou les instituts, think tanks et autres organisations tapageuses chargées de la promotion de cette nouvelle alimentation chimérique et simulatrice. 

Dans le monde des nécrotechnologies, des technologies chimériques et des sciences de la mort, les investisseurs financiers sont maintenant appelés des “angel investors”, des “anges investisseurs” – tel que Bill Gates of Hell.

Les instituts de promotion – et de ponte de rapports bidons – se dénomment, par exemple : Good Food Institute, Institute for the Future, New Harvest, Cultivate, Cellular Agriculture UK, Food Ethics Council, RebelBio…

RebelBio se définit, par exemple, comme un incubateur/accélérateur de startups biotechnologiques. Cette organisation est une filiale de SOSV, [37] une firme d’investissements, qui se vante d’avoir incubé/accéléré 78 startups dans le secteur des biotechnologies et des sciences de la vie – en fait, dans le secteur des nécrotechnologies et des sciences de la mort.

Les entreprises de l’agriculture cellulaire se dénomment : Peace of Meat, Sweet Earth Enlightened Foods, Meat the Future, Alternative Plants, Because Animals, Biomimetic Solutions, Gourmey, New Age Meat, CellulaRevolution, Rebellyous Foods, New Wave, Impossible Foods, Sustainable Byproducts, Perfect Day, Beyond Meats, VivaxBio, BioFood Systems, Clear Meat, AvantMeats, Evolva, Future Fields, Legendary, Higher Steaks, Super Meat, Integriculture, New Culture, Modern Meadow, Ginkgo Bioworks…

Par exemple, quelle est l’amplitude de “Rébellion” de l’entreprise dénommée “Rebellyous Foods” à Seattle aux USA ? Son fake-poulet contient de la protéine de blé, de la protéine de soja, quelques légumes, de la méthylcellulose, du fécule de maïs, des extraits de tocophérols, des huiles de colza ou de tournesol, du pyrophosphate de tétrasodium, etc. Il ne s’agit, authentiquement, que d’une simulation de rébellion dont l’objectif est de gaver les Peuples avec de la viande zombie – un cadeau empoisonné du Transhumanisme.

Les processus, technologies, prétextes et prétentions mis en exergue par l’agriculture cellulaire sont, le plus souvent, affublés du préfixe “bio” : bio-réacteur, bio-fermenteur, bio-matériaux, bio-produits, bio-fuels, bio-ingénierie, bio-fermentation, bio-fabrication, bio-processus, bio-raffinerie, bio-médecine, bio-politiques, bio-éthicien… 

Le terme “bio-éthicien” qualifie une nouvelle profession chargée d’éduquer le petit peuple à adopter la belle éthique de la viande cellulaire chimérique, écologique, durable, humanitaire et à ne plus se vautrer dans la male éthique de la viande sale produite par l’élevage. En cette fin de civilisation, l’éthique est à étiquettes variables et il n’est que d’analyser, pour mieux la vomir, “l’éthique” de tous ces criminels menteurs et psychopathes qui ont assigné et confiné les Peuples à domicile – à savoir dans des cuves domestiques de fermentation psychique. 

Quant aux noms dont sont affublés les produits hyper industriels et transformés de “l’alimentation cellulaire” et autres simulacres de viande, la simulation bat son plein. La multinationale Hormel Foods, célèbre pour ses produits Spam, vient d’introduire une nouvelle gamme de substituts de viande dénommée “Happy Little Plants™”. Morningstar Farms, une division de la multinationale Kellog’s, vient d’introduire une nouvelle gamme de substituts de viande dénommée “Incogmeato”.

Sweet Earth Enlightened Foods, une filiale de Nestlé, a récemment introduit un burger de fausse viande dénommé “Awesome Burger”. C’est en 2018 que la multinationale Nestlé a décidé d’entrer dans la course à la production de protéines simulées industriellement en les identifiant comme l’une des “Food Tribes” (sic) à croissance rapide. 

Ce qui est surtout impressionnant, c’est l’audace avec laquelle certains mythomanes qualifient leur junk-food, à base de protéines de pois, “d’aliments illuminés de la Terre douce”.

Xochi. Le 22 mai de l’An 02 des Gilets Jaunes.