L’objectif transparent et déclaré, de cet essai, est de mettre en exergue que le Chanvre/Cannabis – Cannabis sativa – a été validé, et utilisé, depuis quelques décennies, pour ses propriétés de bio-remédiation, à savoir d’élimination, des substances les plus toxiques disséminées, dans la Biosphère, par l’Industrie et l’Agriculture industrielle, chimérique et synthétique.
En fait – mais cela dépasse le cadre de cet essai – la problématique de la phyto-remédiation ou bio-remédiation, constitue un sujet très complexe et épineux. Que cela soit pour le Cannabis ou pour toute autre espèce. En effet, tout dépend de la façon dont les diverses espèces épuratrices bio-accumulent les toxiques dans leurs tissus. Est-ce en les fixant, en les désactivant, en les modulant…?
Et tout dépend de la façon dont les diverses espèces contaminées, parce qu’accumulatrices, sont gérées – subséquemment.
Pourquoi? Afin de proposer que cette Plante Médicinale Maîtresse – sous sa forme de “Chanvre” (alimentaire, textile, etc) ou de “Cannabis”, dénommé “Marie-Jeanne” ou “Ganja” – puissent constituer l’une des premières lignes de défense anti-oxydantes afin de dégrader, et de désactiver, dans l’organisme humain, tous les dérivés nano-particulaires de la famille du Graphène… et, en vérité, au-delà du Graphène, tous les matériaux nano-particulaires métalliques, ou autres, qui n’y ont aucun office.
Caveat. Répétons que le Chanvre et le Cannabis ne constituent qu’une seule et unique espèce – à savoir Cannabis sativa.
En effet, Cannabis indica n’existe qu’au niveau de sous-espèce. Quant à Cannabis ruderalis, le Jardin Botanique de Kew ne lui reconnaît pas la nature d’espèce. [23]
La première conclusion que l’on puisse inférer de cette pléthore d’études, portant sur la capacité de bio-remédiation de Cannabis sativa, c’est que le Chanvre alimentaire (huile, semences…) et le Cannabis médicinal, ou récréationnel, doivent absolument être cultivés en bio selon des méthodes évitant totalement les produits de synthèse et les biocides.
Je parle, bien sûr, de bio authentique car le Cannabis cultivé, industriellement, avec une fertilisation organique risque, d’ailleurs, tout autant d’accumuler des métaux lourds lorsque cette fertilisation “organique”, autorisée par les “Cahiers de Décharges” de l’Industrie Bio, provient des déchets de l’agriculture pesticidaire et de synthèse (poudre de sang, poudre d’os, lavasse de betterave, moult de raisin, etc, etc, ad nauseam).
En effet, lorsqu’ils sont cultivés avec les produits toxiques de l’agriculture industrielle chimique et chimérique, le Chanvre et le Cannabis deviennent éminemment toxiques – de par leurs capacités d’hyper-accumulateurs. Il est aisé, ainsi, d’imaginer les risques d’extrême accumulation de métaux lourds lorsque le Cannabis est cultivé industriellement dans des serres désaffectées, ou recyclées, dans lesquelles ont été cultivées des tomates, des aubergines, des concombres, etc, pendant des dizaines d’années
Ce sont les inflorescences du Cannabis – et non pas ses feuilles ou ses racines – qui accumulent les plus hautes teneurs en Plomb, en Zinc et en Cadmium.
Aux USA, un très fort pourcentage des produits à base de Cannabis médicinal, et récréationnel – fumés, vaporisés, consommés, etc – sont, totalement, contaminés par des substances agricoles hautement toxiques: ils constituent, ainsi, des bombes cancérigènes, mutagènes, neuro-dégénératrices, etc.
Voir, à ce sujet crucial, mon essai, rédigé en novembre 2015: “L’Industrie du Cannabis et des cannabinoïdes dans la tourmente des pesticides et des métaux lourds”. [25]
Pour Rappel. En juin 2015, le Cannabis Safety Institute a publié les résultats des analyses effectuées par le Laboratoire Oregon Growers Analytical d’Eugene en Oregon. [26] Le bilan de ces analyses est tout simplement catastrophique: la moitié quasiment des produits Cannabis – sous toutes formes – vendus dans les quelque 300 dispensaires de l’Oregon sont pesticidés. Rodger Voelker, le directeur du laboratoire, précise que la situation pourrait être encore bien pire car Oregon Growers Analytical n’a analysé que pour la présence de 69 pesticides – les plus communément utilisés (selon les producteurs de cannabis et les fournisseurs de pesticides pour l’industrie du cannabis).
Si l’on se réfère au niveau permettant de tester positif selon les normes de la législation de l’Oregon – à savoir 0,1 ppm – la situation est explosive. En effet, la moyenne de contamination pour la majorité des pesticides se situait entre 1000 et 5000 ppm avec 12% des échantillons au-delà de 10 000 ppm et 2% des échantillons au-delà de 100 000 ppm. Les échantillons dépassant ces dernières limites atteignaient des seuils de 64 000 ppm pour les sommités fleuries (avec de l’imidaclopride) et d’environ 400 000 ppm, et plus, pour les extraits de cannabis avec le Myclobutanil, le Zylon et le Carbaryl.
Contamination du Cannabis par les métaux lourds: Cadmium, Plomb, Arsenic, Mercure, Nickel, Zinc, Cuivre, Magnésium, Cobalt, Manganèse, etc… de par ses capacités de bio-accumulation
“Industrial hemp (Cannabis sativa) – a valuable alternative crop for growing in agricultural soils contaminated with heavy metals / Le chanvre industriel, Cannabis sativa : une culture alternative précieuse pour les sols agricoles contaminés par des métaux lourds”. Janvier 2023. Cette étude a analysé les teneurs en Plomb, en Zinc et en Cadmium, d’une variété de Cannabis, en fonction des inflorescences, des graines, des racines, de l’écorce et du coeur ligneux de la tige. [5]
Selon les conclusions. L’accumulation de Pb/Zn/Cd par les organes/tissus de la plante était répartie dans l’ordre suivant : inflorescences (Pb-4.10/Zn-92.8/Cd-0.50 mg/kg) > graines (Pb-1.79/Zn-92,6/Cd-0,27 mg/kg) > racines (Pb-1,15/Zn-15,0/Cd-0,44 mg/kg) > écorce de la tige (Pb-0,42/Zn-12,4/Cd-0,23 mg/kg) > cœur ligneux de la tige (Pb-0,34/Zn-4,6/Cd-0,15 mg/kg). La seule exception concerne le Cadmium, pour lequel les racines ont accumulé une valeur plus élevée que les graines, mais plus faible que les inflorescences.
Ce sont, donc, les inflorescences du Cannabis qui accumulent les plus hautes teneurs en Plomb, en Zinc et en Cadmium.
Selon, également, les conclusions criminelles des auteurs de l’étude: «La culture du chanvre dans des sols agricoles pollués par des métaux lourds semble réalisable puisque la majorité des tissus/organes n’ont pas été contaminés et que différents produits peuvent être obtenus à partir de diverses parties de la plante de chanvre.»
Il s’agit des produits à destination des textiles… et de l’alimentation. Tout va bien?
“Modeling a pesticide remediation strategy for preparative liquid chromatography using high-performance liquid chromatography / Modélisation d’une stratégie d’assainissement des pesticides par la chromatographie liquide préparative à l’aide de la chromatographie liquide à haute performance”. Avril 2023. [8]
Selon les conclusions. Cette étude a identifié un certain nombre de biocides (insecticides, fongicides, herbicides, etc) dans diverses formes de Cannabis: la clothianidine, l’imidaclopride, le carbaryl, le diuron, le spinosyn A et le myclobutanil. Tout va bien?
“Blood and Urinary Metal Levels among Exclusive Marijuana Users in NHANES (2005-2018) / Niveaux de métaux dans le sang et dans l’urine chez les consommateurs exclusifs de marijuana dans le cadre de l’enquête NHANES (2005-2018)”. Août 2023. Cette étude a passé en revue les données du National Health and Nutrition Examination afin d’analyser les concentrations d’arsenic, de cadmium, de plomb et de mercure chez les consommateurs de Cannabis [41]
Selon les conclusions. Il prévaut des taux supérieurs de Plomb et de Cadmium chez les fumeurs de Cannabis – par rapport à des personnes ne fumant ni Cannabis, ni Tabac.
“Determination of Heavy Metals in a Variety of Cannabis and Cannabis-Derived Products, First Action 2021.03 / Détermination des métaux lourds dans une variété de cannabis et de produits dérivés du cannabis, Première action 2021.03”. Décembre 2021. [2]
Dans cette étude, il s’agit du Plomb, du Cadmium, du Mercure et de l’Arsenic.
“The comprehensive review about elements accumulation in industrial hemp / Revue complète de l’accumulation d’éléments dans le chanvre industriel”. [22]
Selon le résumé: «Cet article vise à enrichir les connaissances actuelles en proposant une analyse complète de l’absorption d’éléments dans le chanvre industriel. Malgré ses avantages, il existe une lacune notable dans la toxicologie réglementaire, dans la compréhension de l’étendue de l’accumulation d’éléments dans le chanvre, qui est critique en raison de sa capacité à absorber divers éléments du sol: les métaux lourds (Pb, Cd, Hg, et As), absorbe des éléments toxiques potentiels (par exemple, Sb, Sn, Sr, Bi, Tl), des éléments problématiques (Ni, Cr, Co), et des éléments essentiels (Zn, Cu, Fe, Mn). »
Cannabis et Bio-remédiation des substances les plus toxiques contaminant la Biosphère
L’objectif de cette section, est de mettre en exergue que le Chanvre/Cannabis – Cannabis sativa – a été validé, depuis quelques décennies, pour ses propriétés de bio-remédiation des substances les plus toxiques disséminées, dans la Biosphère, par l’Industrie et l’Agriculture industrielle, chimérique et synthétique.
Et ce au travers d’un certain nombre d’études scientifiques publiées… et de mes commentaires afférents.
Le Chanvre/Cannabis est utilisé pour nettoyer les métaux, les pesticides, les solvants, les explosifs, le pétrole brut, les hydrocarbures polyaromatiques, les toxines, les adjuvants des remèdes anti-cancéreux, les déchets organo-métalliques complexes, etc – et, même, l’uranium et autres radionucléides.
Le Cannabis a tendance à accumuler différents éléments du sol où il est cultivé en raison de ses racines très profondes – et en raison de ses capacités de tolérer de très hauts niveaux de contaminants dans ses tissus.
Le Cannabis va non seulement absorber les métaux lourds présents dans le sol, mais il va, également, les absorber par le vecteur des pesticides, des fertilisants et des adjuvants de croissance de l’agriculture chimique toxique – ainsi que par d’autres voies environnementales.
“Potential of Industrial Hemp for Phytoremediation of Heavy Metals / Potentiel du chanvre industriel pour la phytoremédiation des métaux lourds”. Février 2022. [9] Cette étude présente les diverses méthodes proposées pour gérer la bio-masse des plantes de Cannabis utilisées pour de la bio-remédiation de substances très toxiques.
L’étude évoque la gestion de cette bio-masse toxique en l’incluant, en l’enfermant, dans des polymères. Cette étude rappelle, également, que l’édition de décembre 1941, du magazine Popular Mechanics, rapporte que des fibres de chanvre ont été utilisées, dans des composites à matrice de résine, pour la carrosserie de la voiture d’Henry Ford, qui était censée avoir une “résistance” plus conséquente.
En fait, l’un des plastiques développés par les ingénieurs de Ford était composé de 70% de fibres de cellulose et de 30% d’un liant de résine. Les fibres de cellulose étaient composées de 50% de fibres de pin slash (Pinus elliottii), 30% de paille,10% de Ramie/Ortie de Chine (Boehmeria nivea) et 10% de Chanvre (Cannabis sativa).
Selon la presse de l’époque, en 1941, ce plastique pouvait absorber des chocs 10 fois plus puissants que ceux absorbés par l’acier – sur un véhicule avec un moteur V8 de Ford de 60 chevaux. [55] Pour mémoire, en 1941, Henri Ford est filmé en train de frapper le coffre de sa voiture prototype, partiellement en chanvre, avec une hache sans laisser la moindre trace. Le plastique de chanvre utilisé représente environ 60% du poids de l’acier et est dix fois plus résistant. [11] [32] Sa voiture fut présentée, au grand public, dans l’édition, de décembre 1941, de Popular Mechanics Magazine. [51]
A noter que ce plastique contient deux Plantes Médicinales Maîtresses, Boehmeria nivea et Cannabis sativa – également réputées, depuis la Nuit des Temps, pour leur utilisation dans la confection de vêtements. La première fait partie de la Famille des Urticacées et la seconde de la Famille des Cannabacées – toutes deux faisant partie d’un même clade botanique avec la Famille des Moracées.
“Cannabis-derived products antagonize platinum drugs by altered cellular transport / Les produits dérivés du Cannabis contrecarrent les médicaments de chimiothérapie, à base de platine, en modifiant le transport cellulaire”. Juillet 2023. Cette étude soulève la possibilité que l’effet souhaitable de contrecarrer les effets indésirables de la chimiothérapie puisse, au moins pour certains cannabinoïdes, refléter une altération de la disponibilité cellulaire et, par conséquent, une atténuation des effets anticancéreux des médicaments à base de platine. [10]
Selon les conclusions. Le cannabidiol, et les extraits de Cannabis, peuvent contrecarrer, efficacement, les effets anti-cancéreux des médicaments à base de platine largement utilisés. Même de faibles concentrations de cannabinoïdes réduisent la toxicité du cisplatine, de l’oxaliplatine et du carboplatine – un effet qui s’accompagne d’une diminution de la formation d’adduits de platine.
“Bacterial assisted phytoremediation of heavy metals and organic pollutants by Cannabis sativa as accumulator plants growing on distillery sludge for ecorestoration of polluted site / Phytoremédiation bactérienne des métaux lourds et des polluants organiques par Cannabis sativa en tant que plante accumulatrice croissant sur des boues de distillerie pour l’écorestauration d’un site pollué”. Avril 2023. [19]
Cette étude a pour objectif de comprendre le rôle fonctionnel de la communauté bactérienne rhizosphérique, du Cannabis, dans la détoxification et la dégradation des déchets organo-métalliques complexes, et de contribuer ainsi au développement de techniques de phytoremédiation adéquates pour l’éco-restauration des sites industriels pollués en vue d’un développement durable.
“Cannabis sativa L. and Brassica juncea L. grown on arsenic-contaminated industrial soil: potentiality and limitation for phytoremediation / Cannabis sativa L. et Brassica juncea L. cultivés sur un sol industriel contaminé par l’arsenic : potentiel et limites de la phytoremédiation”. Mars 2022. [6]
Selon les conclusions. Bien que Cannabis sativa et Brassica juncea ne présentent aucun symptôme lorsqu’ils sont cultivées dans un sol contaminé à l’arsenic, une réduction importante de la biomasse (50 et 25 %, respectivement) a été observée comme marqueur de stress. La plus grande quantité d’arsenic a été trouvée dans les racines de Cannabis sativa et de Brassica juncea (en moyenne 1473 et 778 mg kg-1, respectivement), mais les deux espèces ont été capables d’absorber et de transloquer l’arsenic dans les feuilles et les tiges, jusqu’à 47,0 et 189 mg kg-1, respectivement.
“Phytoremediation of Radionuclides with Hemp (Cannabis sativa) / Phytoremédiation des radionucléides avec le chanvre (Cannabis sativa)”. [16]
Selon les conclusions. Il a été constaté que le chanvre accumule l’uranium et ses descendants, dont le radium, à différentes concentrations dans les structures de la plante.
“Ability of phytoremediation for absorption of strontium and cesium from soils using Cannabis sativa / Capacité de phytoremédiation pour l’absorption du strontium et du césium des sols à l’aide de Cannabis sativa”. Avril 2012. Cette étude visait à évaluer l’efficacité du Cannabis sativa dans l’absorption des éléments césium et strontium du sol. [18]
Selon les conclusions. L’absorption de strontium et les parties principales de la plante ont montré une relation significative. Le pourcentage d’absorption du strontium était de 45% dans la racine, 40% dans la tige, et l’absorption minimale a été trouvée dans les feuilles (15%), mais le chiffre correspondant n’était pas significatif pour l’élément césium. Une concentration de strontium de 60 ppm était probablement la concentration maximale d’absorption par le cannabis.
“Industrial Hemp (Cannabis sativa) for Phytoremediation of Uranium Contaminated Soil / Le chanvre industriel (Cannabis sativa) pour la phytoremédiation des sols contaminés par l’uranium”. Août 2020. [20]
Selon les conclusions, étonnantes, de cette étude: L’utilisation de la biomasse contaminée après la récolte constitue un problème majeur de faisabilité économique de la phytoremédiation. Comme on sait que les contaminants se répartissent dans la biomasse végétale (racines, pousses et fleurs), les graines pourraient constituer une source potentielle de valeur économique à partir de plantes par ailleurs contaminées par de faibles niveaux d’uranium. Les graines de chanvre industriel sont un produit de grande valeur, tant pour la farine que pour l’huile, avec une teneur en protéines d’environ 25% et une teneur en huile d’environ 30%. L’huile est traditionnellement utilisée comme source nutritionnelle, mais elle constitue également une matière première appropriée pour le traitement des biocarburants. La culture de graines de chanvre sur des terres non arables pourrait constituer une opération économiquement réalisable de phytoremédiation des sols contaminés par l’uranium.
En résumé, les auteurs conseillent aux agriculteurs cultivant du Chanvre sur des terrains contaminés par de l’uranium de s’impliquer dans la commercialisation des graines… afin de limiter les dégâts. Tout va bien?
“Mussel-inspired polydopamine microspheres self-adhered on natural hemp fibers for marine uranium harvesting and photothermal-enhanced antifouling properties / Microsphères de polydopamine inspirées des moules et autocollées sur des fibres de chanvre naturel pour la collecte d’uranium marin et l’amélioration photothermique des propriétés antisalissures”. Septembre 2022. [36]
Cette étude plonge au coeur du chimérique. Il s’agit de confectionner des microsphères (de 1 à 1000 microns) de polydopamine inspirées des moules: à savoir d’un polymère biomimétique auto-adhérant, comme les moules, sur des fibres de Cannabis… afin de récolter de l’uranium dans l’eau de mer, par exemple.
Ne serait-il pas plus sage, en premier lieu, de ne pas contaminer l’environnement avec de l’uranium et autres poisons radioactifs?
“A novel 3D reticular anti-fouling bio-adsorbent for uranium extraction from seawater: Polyethylenimine and guanidyl functionalized hemp fibers / Un nouveau bio-adsorbant réticulaire 3D anti-encrassement pour l’extraction de l’uranium de l’eau de mer : Fibres de chanvre fonctionnalisées à la polyéthylèneimine et au guanidyle”. Août 2019. [21]
Cette étude plonge, tout autant, au coeur du chimérique: il s’agit de “fonctionnaliser” des fibres de chanvre avec de la glycocyamine (ou acide guanidinoacétique) et de la polyéthylèneimine afin d’extraire de l’uranium de l’eau de mer.
“Diamidoximated cellulosic bioadsorbents from hemp stalks for elimination of uranium (VI) and textile waste in aqueous systems / Bioadsorbants cellulosiques diamidoximés issus de tiges de chanvre pour l’élimination de l’uranium (VI) et des déchets textiles dans des systèmes aqueux”. [53]