Alors que la Coalition des Clowns Psychopathes lance une nouvelle guerre humanitaire “pétrole contre dommages collatéraux civils” (et quelle coïncidence: le jour anniversaire du lancement de la seconde guerre d’Irak par le Président George Bush, le 20 mars 2003!) et que les médias à la solde de la mafia globaliste ont sifflé la fin de l’alerte nucléaire, peut-on encore dénoncer décemment, une fois de plus, les méfaits du Nécro-Codex Alimentarius?
Alors que les guerres à l’uranium sévissent depuis 66 ans, allons-nous fermer les yeux, une fois de plus, lorsque la Coalition des Clowns Psychopathes lancera des bombes libératrices à uranium appauvri sur la Libye comme ils l’ont fait pour le Kosovo, le Liban, l’Irak et l’Afghanistan?
Alors que la plume radioactive de Fukushima est en train de se répandre sur tout l’hémisphère nord, allons-nous laisser la mafia globaliste nucléariser la biosphère et la planète entière et la laisser contaminer l’atmosphère, les océans, les nappes phréatiques et les sols (donc les légumes, les fruits, les céréales, etc) et mutagéner à jamais l’espèce humaine?
Alors que les pesticides sont en train de détruire inexorablement la race humaine, allons nous laisser les multinationales et les Etats nous imposer leur Nécro-Codex Alimentarius?
Pour mémoire, c’est en novembre 1961 (et non pas en 1963) que le Codex Alimentarius fut confié à la FAO et à l’OMS, deux commissions de l’ONU strictement inféodées aux multinationales de l’agrochimie et de la pharmacie. Rappelons que 1961 fut non seulement l’année des premiers essais nucléaires Français mais aussi l’année de la création de l’UPOV, de la PAC, de l’OCDE, l’année de lancement des pseudos “révolutions vertes” et l’année du remaniement du GNIS. L’année 1961 fut véritablement un très bon crû pour les Autorités.
Grâce au Codex Alimentarius, les multinationales et leurs valets d’Etat ont pu imposer, aux peuples de toute la planète, les chimères génétiques, les fertilisants de synthèse et les pesticides (herbicides, fongicides, insecticides, nématocides…). Grâce au Codex Alimentarius, les multinationales et leurs valets d’Etat vont maintenant réguler les plantes médicinales et les compléments alimentaires au bénéfice de l’industrie, en général, et de l’industrie pharmaceutique, en particulier.
Quel est le dénominateur-détonateur commun entre le “nucléaire civil”, les bombes à uranium appauvri et le Codex Alimentarius: c’est une Humanité Cancérisée et Mutagénée.
Que faire? Devons-nous signer la pétition “Défense des médecines naturelles” mise en ligne par un groupe d’industriels courageux mais anonymes? L’ennui avec les pétitions virtuelles, c’est que les psychopathes ne peuvent pas s’en servir pour allumer leur barbecue.
Les lecteurs et lectrices intéressées par cette problématique de “défense des plantes médicinales et des compléments alimentaires” sont invitées à consulter les divers articles de Sylvie Simon, de Thierry Thévenin et de Michèle Rivasi sur le site de Liberterre, dans la rubrique Nécro-Codex.
L’un des premiers numéros de la “Gueule Ouverte” titrait en octobre 1973 “Quelle Terre laisserons-nous à nos Enfants?” On pourrait tout aussi bien titrer, aujourd’hui, “Quels Enfants laisserons-nous à notre Terre?”
Des enfants affamés, pesticidés, cancérisés, stérilisés, mutagénés, vaccinés, virtualisés… mais baignant dans la béatitude parce que libérés par la Coalition des Clowns Psychopathes.
N’est-il pas grand temps de déclarer ouverte la chasse aux prédateurs?
Allons-nous attendre que l’industrie alimentaire lance une nouvelle certification et de nouveaux cahiers de décharge pour nous proposer “notre poison quotidien” sur un mode “non-radioactif”, ou sur un mode “légèrement radioactif au césium 137” ou bien sur un mode “pouvant contenir de légères traces de plutonium”?
Ou bien préférons-nous attendre que Monsanto, et autres multinationales de la Mort, nous proposent des semences génétiquement modifiées pour résister à la radioactivité des sols et des nappes phréatiques?