Revue Kokopelli n° 4
Nous avons le plaisir de vous proposer notre revue n° 4 « Kokopelli, un joueur de flûte enchantée dans le rêve éveillé de Gaïa ». Cette revue de 36 pages est disponible en papier auprès du siège de l’association. Elle peut être également téléchargée, en PDF, à partir de notre page d’accueil.
Ouverture de la boutique multi-langues
Afin de permettre à nos amis Européens de commander plus aisément les semences de Kokopelli, nous venons d’ouvrir notre boutique en ligne multi-langues. Pour l’instant, seule la version Anglaise est disponible. Elle sera très bientôt suivie de versions Allemande, Espagnole, Portugaise et Italienne.
La Queue entre les jambes…
ou un recouvrement râté
Nous remercions, une fois de plus, notre avocate Blanche Magarinos-Rey qui a stoppé, in extremis, le blocage des salaires et du compte bancaire personnel du président de Kokopelli, Dominique Guillet. L’Etat Français avait, en effet, mis en recouvrement 17 400 euros sur les ressources personnelles du président de l’association. Rappelons que l’Etat Français avait déjà eu recours à cette manoeuvre peu élégante en décembre 2007.
En 2008 la Cour de Cassation
a pris une bien triste décision :
Kokopelli fut condamné à payer
le lourd tribut que l’Etat demandait.
Plus de dix-sept mil euros
pour quelques graines de haricot.
Tout le monde en fut éberlué
si bien que Mme Kosciusko-Morizet,
estimant que le service rendu
valait plus que ces quelques écus
déclara que l’Etat magnanime
ne réclamerait pas telle dîme.
Cette promesse comme une grande clameur
Fût reprise par toute la presse en chœur.
Kokopelli pût donc s’en retourner
Poursuivre son œuvre de fertilité.
Pourtant figurez-vous que la semaine dernière
le Trésor Public est revenu en arrière.
A grands cris il a exigé son pécule
En brandissant hardiment sa férule :
poursuites contre le président et ses créanciers,
courriers en lettre recommandée,
saisie de rémunération
auprès de l’association,
plus une opposition administrative :
bref, tout l’attirail des volontés punitives !
Sachez toutefois qu’hier l’Etat a renoncé,
car nous lui avons rappelé
que l’exécution de la décision
de notre suprême juridiction
se prescrivait par trois annuités !
Le délai était donc passé ; il avait oublié !
La queue entre les jambes, l’Etat s’en ainsi est retourné ;
c’est ce qui s’appelle un recouvrement raté,
ou une promesse un peu tardivement oubliée…
Poème en prose de Kokopelli-Mana
Nous vous remercions pour votre confiance.